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De quoi le « bonapartisme » est-il le nom ? À force d'en parler, on en oublierait presque celui qui lui a donné son nom. Les célébrations du bicentenaire de la mort de Napoléon sont l'occasion de revenir sur le destin et la doctrine politique de l'Empereur. Institutions, fonctionnement de l'État, organisation de la société… Arthur Chevallier brosse pour nous le tableau d'une période fondatrice de la France contemporaine. À partir d'une analyse inédite de l'Empire, c'est d'un siècle entre bruit et fureur qu'il retrace la fresque idéologique. Si le bonapartisme passe aujourd'hui pour une doctrine de droite parce qu'il est dans la continuité de l'expansionnisme français, dont les lointaines origines remontent à Louis XII, il s'inscrivait au départ dans le sillage des politiques menées par les gouvernements les plus à gauche : ce sont les nostalgiques de la Révolution française qui, à partir des années 1820, ont invoqué la mémoire de Napoléon pour restaurer les idéaux de 1789. Un essai revigorant qui montre que, pour autoritaire qu'il ait été, Napoléon n'en a pas moins été le fondateur de ce qu'on appelle aujourd'hui l'État de droit…  

L'auteur montre qu'une ville n'est pas isolée mais qu'elle fait partie d'un réseau multiple constitué de plusieurs villes qui interagissent via des liens commerciaux, touristiques ou encore associatifs, avec pour but la réalisation d'un projet commun. Il explique le fonctionnement de l'intercommunalité et l'organisation du regroupement administratif de plusieurs communes.

A travers des informations, anecdotes, pistes de réflexion, évocations, exercices, observations et comparaisons, l'auteur montre que la nature est partout en ville, dans les aménagements publics et à travers les éléments naturels. Il étudie les enjeux fondamentaux de la gestion de la nature en ville, mais aussi l'équilibre nécessaire avec les espaces naturels qui entourent la ville.