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Trophées, nourriture, sujets d'expérimentation, ressources, souffre-douleurs, jouets, vêtements… Depuis le Néolithique au moins, les êtres humains considèrent les animaux comme des moyens. Pourtant, les critères sur lesquels repose cette hégémonie de notre espèce n'ont pas la pertinence qui leur permettrait de justifier de tels traitements. C'est ce suprémacisme humain que l'antispécisme entend dénoncer.   Dans ce court essai, Valéry Giroux bat en brèche les caricatures, et montre que l'antispécisme, par analogie avec l'antiracisme, est avant tout une base de réflexion éthique et politique. En affirmant que l'humanité doit renoncer à certains des privilèges qu'elle s'est injustement octroyés aux dépens des animaux, elle défend l'idée qu'un monde délivré du spécisme serait non pas encore parfait, mais incontestablement plus juste.

Walt Longmire, le shérif du comté d'Absaroka, n'a pas pour habitude de s'éloigner de ses terres familières du Wyoming. Quand son vieil ami Henry Standing Bear lui propose de l'accompagner à Philadelphie, il y voit l'occasion de rendre visite à sa fille Cady. Il ne se doute pas que son séjour va prendre une tournure tragique. En effet, suite à une agression, Cady se retrouve dans le coma, première victime d'une longue liste. Walt se lance alors sur la piste d'un vaste réseau de trafiquants de drogue, une véritable errance urbaine sous le signe d'un mystérieux Indien blanc.

Synthèse sur l'éthique animale, la responsabilité des hommes à leur égard, les droits des animaux et leur mise en application.