De la vie post mortem aux serial killers, Blanquet dévoile un univers où se confondent fantasmes érotiques et faits divers morbides. La fausse naïveté du texte et un dessin où transpire le malaise font de Guimauve un cauchemar à l'usage de toute la famille.
Mazzucchelli raconte ses crises d'asthme et sa soif d'oxygène, indissociable de ses aspirations à un idéal. Cette générosité transparaît dans la soif, recueil de nouvelles parues pour la plupart dans Rubber blanket.