Travailleur du cybersexe, Jonny doit rentrer à la réserve dans une semaine pour assister aux funérailles de son beau-père. Pendant ces sept jours, Jonny se raconte : enfance, amitié, amour, sexe, alcool, maquillage, musique, fantômes, espoirs. Le fil des liens familiaux se retisse avec sa mère, sa kokum (grand-mère), ses tantes et oncles. Surgit tout un monde de tendresse. Ce roman est considéré comme le premier roman queer autochtone, avec une langue très contemporaine, et un ton urbain qui donne un nouveau souffle à la littérature des Premières Nations. Les éloges pleuvent à la parution de ce roman considéré comme un vrai miracle. "Jonny Appleseed" est élu meilleur livre de l'année par le quotidien national Globe and Mail.