Dans l'imaginaire des Français, Catherine de Médicis est une figure maléfique qui aurait programmé le massacre de la Saint-Barthélémy. En une relecture novatrice de sa correspondance, l'auteur donne un visage plus humain à celle qui resta femme malgré un monde dominé par les hommes et insiste sur son attachement à la paix dans une conjoncture qui lui était défavorable.