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Le récit d'une femme qui cherche à se libérer d'un poids qui l'empêche de vivre depuis dix ans : la condamnation de son père pour corruption, et dans le même temps la mort de sa mère. Elle tente de comprendre le cheminement de ce père qu'elle a adoré étant enfant, et qui lui paraît si lointain aujourd'hui.
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Vincent va à la rencontre de celle qu'il a aimée, Geneviève. Sur la route, il repense à Clara, leur enfant disparu. Tous deux partagent pour la vie ce malheur inhumain et dans les ultimes paroles qui accompagnent la mort de Geneviève, cette dernière et Vincent se retrouvent et leur petite fille revit au fil de leurs souvenirs.
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A la mort de sa mère, Louise, 27 ans, accepte de partager son appartement avec son père, emprisonné depuis vingt ans. La cohabitation s'avère délicate : le retour de celui qu'elle a tenté d'oublier la replonge dans son enfance et bouscule le fragile équilibre qu'elle croyait avoir trouvé. Mais l'apaisement ne pourra se faire que par la confrontation. Premier roman.
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Décembre 2014. La narratrice sait qu'elle devra vendre la maison de son enfance, effaçant l'ancrage de la mémoire familiale. Cette dépossession intérieure entre en écho avec le sentiment de fissuration du monde extérieur lié aux attentats de janvier et de novembre 2015. Mais, durant ces mois tragiques, l'espoir s'est maintenu car elle a porté et mis au monde un enfant. ©Electre 2016
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Est-ce Lorette, partie il y a sept ans sans laisser la moindre trace ni mot d'explication, qui se tient, en ce matin d'avril 2017, de l'autre côté du boulevard ? Hannah, sa mère, croit un instant l'apercevoir. Peut-être a-t-elle rêvé. Mais, dèslors, plus rien ne peut se passer comme avant : violent séisme intérieur, la vision a fait rejaillir tout ce qu'elle avait tenté d'oublier. Ce même jour, plusieurs destins, chacun lié à Hannah, voient leur existence basculer.Une journée particulière, donc, mais aussi trente ans de la vie intime d'Hannah Bauer, femme, artiste, mère, prise dans les soubresauts de son histoire familiale et de celle de l'Europe, Nous aurons été vivants est un hymne à la vie.
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« Le 17 mars 2020, alors que la France entrait en guerre contre le Covid, la déclaration de guerre, pour notre petit garçon, son père et moi s'est faite au sein du service des urgences d'un hôpital parisien pour enfants. En quelques heures, nous avons été éjectés de notre vie et projetés dans un nouveau monde. Nous y sommes restés cent cinquante-huit jours. »Un autre confinement. Une bulle hors du temps, hors de la vie, où le quotidien devient ce qui était l'impensable, des grandes angoisses aux petites victoires, hors du réel et terriblement réel. Où les proches demeurent à l'extérieur tandis qu'on plonge dans son monde intérieur pour puiser de la force, en exil de sa propre vie.  Dans ce récit étonnement lumineux et poétique, Laurence Tardieu nous raconte cette traversée pour en reconstituer les traces et en graver l'empreinte qui l'aura transformée à jamais ; « parce qu'Adam et moi avons fait l'expérience, au même moment mais pas de la même manière, de ce que signifie : mobiliser toutes ses forces, son mental, éprouver son instinct de survie, je vois le monde aujourd'hui d'une autre manière : je le vois beaucoup plus simplement. Je le vois si beau. Je n'ai plus peur de rien ».Pour dire aussi la joie, la joie brûlante du présent, celle de l'amour entre une mère et son petit garçon, celle de la chaleur des autres.  La joie du vivant. 
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" Je meurs voilà ce qu'elle m'écrit Vincent je meurs viens me voir viens me revoir une dernière fois que je te voie que je te touche que je t'entende viens me revoir Vincent je meurs. Et au bas de la feuille, en tout petit, presque illisible, son prénom, Geneviève, tracé lui aussi au crayon à papier, comme le reste de la lettre, de la même écriture tremblante, défaillante, si ce n'avait pas été ces mots-là on aurait pu croire à l'écriture d'un enfant, on aurait pu sourire, froisser la feuille, la jeter à la poubelle et l'oublier; mais non, ce n'est pas un enfant, c'est Geneviève qui meurt. "
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