Portail des médiathèques du réseau Paris-Saclay

Autour de Mao, l'amour s'exprime de diverses façons... La jeune fille, pleine d'admiration pour la franchise de ses camarades sur le sujet, a décidé de bousculer Hiro et lui a demandé s'il n'avait pas des sentiments à son égard. Mais désire-t-elle vraiment connaître la réponse ? Quoi qu'il en soit, elle décide de profiter de chaque instant et de la présence de Daiki avec lequel elle a, décidément, beaucoup d'affinités. 

Les familles Motomiya et Nakamura partent en voyage ensemble. Mao fait son maximum pour se rapprocher de son père et Hiro de sa petite soeur. Mais les blessures que cachent Hina et le père de Mao semblent être si profondes qu'il faudra faire preuve de patience et de beaucoup de chaleur pour faire fondre la glace. Les voeux de nos deux héros vont-ils  quand même se réaliser ?

Yuzuno, la mère biologique de Mao, débarque à l'improviste et lui propose d'emménager chez elle.Mao sait que sa mère est une femme égoïste et capricieuse, mais ressent de l'empathie en imaginant la solitude qu'elle endure et ne peut se résoudre à la repousser froidement. Elle a envie de lui tendre la main, comme Hiro et tous les autres l'ont fait pour elle. Mais pourra-t-elle se résoudre à quitter tous ceux qui l'entourent et qui l'aiment ?

Hiro invite Mao à un second rendez-vous en tête à tête. Envahie par le stress, la jeune fille a un comportement étrange, mais la bienveillance d'Hiro l'aide à retrouver calme et raison. Nos deux héros repensent à tout ce qu'ils ont vécu jusqu'à présent… L'heure d'exprimer les sentiments qu'ils réfrènent depuis bien longtemps semble avoir enfin sonné !

Mahiru, depuis toujours comparée à sa jumelle unanimement jugée plus mignonne, s'interdit d'être heureuse. En effet, cette élève de seconde très négative est persuadée que tout bonheur qui lui arrive s'accompagne forcément d'un malheur en retour. Aussi est-elle complètement déboussolée lorsque, dès la rentrée, son beau et mystérieux camarade de classe Aoi lui fait une profonde déclaration d'amour... 

Mahiru Yanase a toujours été comparée négativement à Mayo, sa jumelle. De caractère très négatif, elle est persuadée que quand quelque chose de bien lui arrive, un désastre suit aussitôt. Mais voilà que juste après la rentrée, un beau garçon de sa classe, Aoi, lui fait une déclaration… ! Tout en se demandant pourquoi il l'a choisie, Mahiru ne peut s'empêcher de penser à lui. Elle se sent de plus en plus attirée, mais elle manque totalement de confiance en elle. C'est alors qu'Aoi lui dit qu'ils se sont déjà rencontrés auparavant et que c'est bien elle qu'il aime. Puis ils s'embrassent !

Daiki, le petit frère de Hiro, est de retour à la maison pour les vacances d'été. Mao et lui ont commencé secrètement un petit boulot dans un bar. Mais un jour, Hiro débarque par hasard sur leur lieu de travail, accompagné de sa collègue de travail, Mlle Sugimoto. Les pensées de Mao oscillent entre angoisse et jalousie... et son cœur est de nouveau mis à rude épreuve.

La tristesse de Mao s'estompe petit à petit depuis qu'elle vit chez Hiro, son ami d'enfance. Elle a enfin l'impression d'être importante pour quelqu'un. À présent, elle est perturbée par les sentiments qu'elle ressent à son égard, au point de mettre de côté l'écriture de son roman sur mobile. C'est alors que Radical, l'un de ses lecteurs assidus, lui propose un rendez-vous. Le stress et l'excitation envahissent Mao qui a hâte de rencontrer ce mystérieux lecteur !

Se retrouver à la maison avec Hiro, glisser sa main dans la sienne sans savoir ce qu'il pense vraiment, ressentir malgré tout une joie irrépressible et des battements qui tambourinent constamment dans sa poitrine... la sensibilité de la jeune Mao est soumise à rude épreuve. Sentant que cette situation ne peut plus durer, elle prend la résolution d'affronter son père dans le but de réintégrer le foyer familial. Hiro est-il prêt à la soutenir et à envisager son départ ?

Daiki est de retour à la maison pour le plus grand plaisir de Hiro qui voit une partie de ses rêves se réaliser. Mao accepte quant à elle de retourner temporairement chez elle pour l'anniversaire de sa petite sœur. Elle ne sait plus vraiment où elle en est avec sa famille... avec Hiro... Serait-ce provisoire ou un signe que ses sentiments sont en train d'évoluer ?

Le voyage d'entreprise organisé à Sendai sera-t-il l'occasion pour Mlle Sugimoto de clarifier les sentiments qu'elle éprouve pour Hiro ? Et Daiki profitera-t-il de cette occasion inespérée de se retrouver seul avec Mao pour se rapprocher d'elle ?

Daiki a enfin avoué son amour à Mao. Troublée par cette déclaration inattendue, la jeune fille part de nouveau se réfugier dans la maison de son père. Mais là-bas, la gentillesse de sa belle-mère lui rappelle tout ce que Hiro et Daiki ont fait pour elle et prend consciense qu'elle n'a aucune raison de les fuir. Doucement, chacun commence à trouver son chemin dans ce dédale de sentiments...

Mao est en pleine confusion suite au baiser inattendu de Hiro. Toutefois, elle ne veut pas se faire de faux espoirs et décide de séjourner un petit moment chez son père pour se remettre les idées en place. Face à la motivation de la jeune fille pour retourner chez elle, Daiki comprend qu'il ne doit plus traîner. Serait-ce l'heure d'un nouveau chaos sentimental ?

Comment construire et avancer lorsqu'on aime quelqu'un et que les sentiments d'une autre personne s'interposent ? Mao, Hiro, Radical, Oda ou Chii-chan sont tous confrontés à cette douloureuse situation. Et Daiki, qui fait son grand retour à la maison familiale, n'est pas épargné non plus et cache toujours les sentiments qu'il éprouve pour Mao. En attendant, le rêve de Hiro prend forme : sa famille se reconstitue progressivement. 

Petite, Mao passait ses journées dans la famille d'Hiro, son voisin d'en face. La vie y était joyeuse et insouciante et comblait le vide qui était en elle. Plusieurs années ont passé… Le père de Mao s'est remarié et la jeune fille se sent étrangère sous son propre toit. Hiro, lui, vit seul dans la maison familiale depuis le décès de ses parents. Il propose alors à Mao d'emménager chez lui…