G. Rubin montre les conséquences néfastes de l'inhibition et de la dépréciation, qui peuvent empêcher un individu d'accéder au bonheur en le poussant systématiquement vers les mauvais choix et les mauvaises personnes.
Prenant des exemples tirés de la vie quotidienne, dans l'art, le sport, les sciences et techniques, la psychanalyste montre que les interdits sont indispensables à une société dans la mesure où ils la structurent et permettent la vie en communauté.