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Stéphane Grappelli est un musicien majeur dans l'histoire de la musique. Il est impossible que son nom s'efface de la mémoire collective. Je lui portais une grande tendresse et une immense admiration. J'étais, comme il m'appelait toujours, son "Petit Fils". Il était un peu comme le grand-père que je n'avais plus. Cet enregistrement est une façon de nous rassembler, musiciens et amis qui l'aimions tant, pour raviver son souvenir. Enregistré en 2008 pour célébrer le centenaire de la naissance de Stéphane Grappelli, Didier Lockwood réunit parmi la fine fleur du jazz français un formidable aréopage de musiciens. Tous ces artistes, de Martial Solal à Romane, viennent dédicacer de leur art leurs impressions et souvenirs du violoniste qui marqua de son archet tout un pan de l'histoire de la musique jusqu'à sa disparition en 1997. Un disque où tous les jazz se confondent rendant hommage à tout l'univers Grappelli. Un CD bonus accompagne l'album et propose des vidéos et interviews qui mettent formidablement en exergue l'enthousiasme et la passion qui ont parcouru la réalisation de cet album.

Mousse, la petite souris, regarde par la fenêtre de sa maison et voit un chien. Il s'appelle Frimousse et ne sait pas où aller… « Viens chez moi », lui dit Mousse. Frimousse, ravi, la rejoint. Mousse et Frimousse vont passer, ensemble, une chouette journée.

Il y a presque toute ma vie au fond de la malle du grenier. Des tas de souvenirs, pas très bien rangés. Un jour, j'ai plongé dedans, tête la première, et j'ai sorti : mon premier jour d'école, le parfum de maman, les éclats de rire à l'heure de la sieste et puis le défilé du carnaval ! Papa, en voyant ce bazar, a tout ramassé et s'est mis à trier, à coudre, à coudre… Sous mes souvenirs je dors est un album intelligent. Beau, doux, il fait du bien. Tout simplement.

Mes parents travaillaient près de moi. Maman cousait des robes de cabaret, ici, et papa mettait des sardines en boîtes, là. Un jour, on apporta un carton. Au fond, on mit une couverture fleurie et dessus, un petit bébé, moi. Elle était belle ma maison ! Il était marqué dessus « Zidigli, mousseline de Paris ». Au début, je babil-lais, je pédalais et mes mains dessinaient des choses merveil-leuses sur l'horizon. Un jour, je me retrouvai sur le bidon… Zidigli, c'est l'histoire d'une jeune fille qui se souvient de sa petite enfance. Expériences vécues et imaginées vont se mêler autour d'un grand carton.