A cause de l'avance accidentelle de son horloge murale et à l'occasion d'une simple visite de révision à l'usine (l'usine a pour but de contrôler le dernier espace vital qui subsiste encore : le rêve), les services du docteur Koff inoculent par erreur à notre héros le rêve du plafond.
Dans l'univers surréaliste composé par l'auteur, fait de carton-pâte, de collages et de ressorts en tout genre, l'envol d'un rouge-gorge bouleverse agréablement l'ordre insipide d'un monde immobile.