Après avoir quitté Copenhague, une jeune femme s'installe dans une communauté isolée de l'ouest du Danemark, et fait face avec humour à de sérieux problèmes d'adaptation. " Stine Pilgaard a écrit un roman envoûtant. Elle a réussi le tour de force de nous offrir un livre hilarant et métaphysique à la fois. " Véronique Ovaldé, Le Monde des livres. Le pays des phrases courtes, c'est l'ouest du Jutland, région rurale située à l'ouest de la péninsule danoise. Après avoir quitté Copenhague, une jeune femme s'y installe dans une communauté isolée et doit trouver sa voie, non seulement dans l'environnement déconcertant de l'école secondaire résidentielle Folk où son partenaire a été engagé pour enseigner, mais aussi dans les formes de conversation impénétrables de la population locale. Et pour couronner le tout, elle doit jongler avec ses rôles de mère d'un nouveau-né et de chroniqueuse dans le journal local. Presse : " On trouve dans ce roman la douceur de la vie communautaire (et son poids aussi), la beauté de la nature du Jutland, la détresse (que l'héroïne rend désopilante) d'être parent, la difficulté de passer son permis de conduire, et tout cela délicieusement ponctué par son travail d'oracle pour le journal local. Elle répond au courrier des lecteurs, et ses réponses sont des moments parfaits de sagesse branque. Stine Pilgaard a écrit un roman envoûtant. Elle a réussi le tour de force de nous offrir un livre hilarant et métaphysique à la fois. " Véronique Ovaldé, Le Monde des livres. " Un pur moment de bonheur littéraire. " Page des Libraires " Drôle, sincère, lucide, d'une sensibilité et d'une inventivité folles " LiRe " Des pages hilarantes et enlevées [et] en sous-texte, un éloge très poil à gratter des ratages et des impasses. " Marie Claire