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L'archiviste est chargé de faire un rapport sur l'existence de mystérieuses cités. Le jeune Roland est nommé au Centre de cartographie de Sodrovno-Voldachie. Presque reclus dans ce centre, il rencontre une jeune femme dont le corps est couvert de lignes étranges. Et le maréchal Radisic, dirigeant suprême, ne laisse aucun doute. Tous les moyens seront bons pour reconstituer la Grande Sodrovnie.

Les auteurs exploitent des thèmes (politique, sport, science, arts, etc.) en combinant texte et image et en les situant dans un futur plus ou moins proche (2024, 2030, 2037, etc.).

Un album qui nous permet de pénétrer dans l'univers onirique de Schuiten et Peeters à travers leurs projets scénographiques, depuis le 11e Festival du film noir de Grenoble en 1989, à Hanovre 2000 et à la création de la Cenerentola au Théâtre de la Monnaie de Bruxelles, et bien sûr, la conception de la station du métro Arts et Métiers de Paris.

Les aventures de Mary qui, un matin, se réveille penchée. Elle n'a pas mal, elle n'a pas de fièvre, mais elle penche. Et le plus bizarre, c'est qu'elle penche toujours du même côté...

Une histoire illustrée de la bande dessinée à travers plus de 550 reproductions de planches originales présentant les styles, les techniques et l'inventivité graphiques et narratives de près de 500 auteurs.

Une réédition cartonnée comprenant une postface de B. Peeters.

Les aventures d'Addidas, la petite ramoneuse qui tombe dans des comas inexplicables.

Comme Plagiat, cette nouvelle histoire est inspirée d'un fait divers réel, l'affaire Enigma. Un jeune journaliste part à la recherche d'un scientifique étrange et de son secret perdu dans les méandres de la Seconde Guerre mondiale. (Electre ©)

Brüsel, 21 juillet 784. Constant Abeels compte les pierres qui s'accumulent mystérieusement dans chaque pièce de son habitation. Chacune pèse la même chose : 6.793 grammes. Au même moment, dans un immeuble voisin, une mère de famille constate que du sable s'amoncelle chez elle... Ce grand format rassemble les deux volumes avec en plus des textes, documents et illustrations sur la maison Autrique. (Source Electre)

BD autobiographique. David, Dabido pour les japonais, est représentant de cognac installé à Tokyo. Ils rencontre Kimié et va démarrer une relation amoureuse. Vie quotidienne, amours, et tentative de vendre du cognac au japonais...

Boilet, dessinateur inclassable et Peeters, le scénariste de toutes les utopies, entreprennent dans Love Hotel, un voyage au pays des friponneries niponnes.

Georges est un maquettiste de génie et d’une méticulosité exceptionnelle. Mais son travail si délicat ne peut être rentable vu le temps de réalisation nécessaire ; ainsi sa maquette d’avion sur laquelle il travaillait depuis des années est jugée « dépassée ». La vie de Georges se déroulait sans heurt et sans émotion dans la maison familiale qu’il partage avec son frère jusqu’à ce qu’une Cadillac rose se retrouve en panne devant chez lui. Georges fait alors la connaissance de Dolores, actrice hollywoodienne adulée. Celle–ci est admiratrice du travail de Georges et lui propose un travail à la mesure de son talent : la maquette à l’échelle de sa villa ! Lentement, Georges tombe sous le charme de l’actrice et de sa villa , il devient très possessif. Étrangement, il semblerait que la réalité s’adapte à sa maquette ! En ira t-il de même pour Dolores ?

Quand il écrit pour Anne Baltus, Benoît Peeters crée des personnages qu'on dirait posés à côté de leur vie. On se souvient de Georges Leterrier, l'architecte maquettiste de Dolorès, premier album de ces deux auteurs. Delphine et Laurent, héros de ce nouveau roman, semblent eux aussi flotter à la surface de la réalité, comme incapables d'y pénétrer. Violoniste de grand talent, le premier nourrit un attachement étrange pour la piscine dont il a en principe provisoirement accepté la direction. Delphine, elle, s'éprend d'un fantôme plutôt que de répondre à l'amour de Laurent. Deux êtres se croisent sans vraiment se rencontrer, chacun poursuivant sa chimère. L'un et l'autre finiront par s'absenter définitivement, les flots se refermeront sur eux sans remous. Mis en images d'un trait léger, dans des couleurs subtiles, Calypso a la grâce de ces personnages fragiles que la vie ne sait pas retenir.