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Tout commence à Roissy, ce fameux jour de 2010 où le volcan islandais au nom imprononçable, le Eyjiafjöll, s'est brusquement réveillé, stoppant ainsi tout le trafic aérien et provoquant un chaos intégral. C'est aussi ce jour-là que Mathieu, obstétricien de renom, et Arielle, restauratrice de tableaux, devaient s'envoler pour le Japon. Leur vol est annulé, impossible de trouver un taxi pour rentrer à Paris. Mathieu est fou de rage, Arielle curieusement apathique : elle vit depuis des années sous la coupe de son mari qui l'a isolée de ses amis, poussée à ne plus travailler et à prendre des médicaments pour la calmer, dit-il… D'autant plus que Daniel, son frère jumeau, son confident, est mort brutalement il y a quelques mois. Son chagrin est immense et pourtant, plus elle pleure, plus il la rejette, la malmène, l'humilie… Dans le chaos de l'aéroport, à travers ses larmes, Arielle aperçoit Jack. Jack est séduisant et étonnement généreux. D'ailleurs, il leur propose de les ramener en voiture à Paris. Hasard ou coïncidence ? En tout cas, ce sera l'amorce d'une renaissance pour Arielle. Est-ce le volcan islandais qui se réveille ce jour-là ou bien est-ce Arielle, enfin décidée à se battre et à sortir de sa torpeur existentielle et conjugale ?
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Un roman puissant et lumineux à l'image de son héroïne, empreint de justesse et d'émotion. " Tout le monde m'appelle Jo. Mon frère, ma sœur, mon oncle, ma tante. Je déteste. Jo, c'est un raccourci pour ne pas flâner en chemin, c'est le dernier des frères Dalton, un boxeur, une peluche, un chien, mais ce n'est pas Georgia. Pour aller vite, ma mère aussi m'appelle Jo. Georgia c'est trop long à dire, et il y aurait tant à dire. " Jo, mets ta chemise ! Tu es très jolie avec." Ça aussi je déteste. Si j'avais pu ne pas être jolie, rien, peut-être, ne serait arrivé." Georgia aurait dû rester, pleurer. Pleurer sa mère. Cette mère dont elle a attendu, espéré, pendant plus de trente ans, un geste, un mot. Cette mère pour qui aujourd'hui, elle revient à l'Hôtel du Bord des vagues où justement tout est arrivé. Elle rejoint sa famille qui ne sait rien. Mais voudra-t-elle vraiment savoir? - Prix Matmut du 1er roman 2016 pour Un si long chemin jusqu'à moi, aux Éditions Denoël.
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Nouveauté
Fabienne Périneau s'inspire de sa vie et de sa rencontre avec Marguerite Duras, et soulève une question :Un roman, une pièce de théâtre, une chanson, peuvent-ils sauver une vie ? Un jour à la radio, elle entend une chorégraphe parler de son enfance traversée d'épreuves.–; Comment avez-vous fait pour vous en sortir ? demande la journaliste.–; C'est Patti Smith qui m'a sauvée.Elle, c'était Marguerite Duras. Elle est encore toute jeune actrice lorsqu'elle découvre Agatha de Marguerite Duras. Grâce à ce livre, elle se sent débarrassée. Le poids en moins. Comme quand elle avait dix ans, qu' elle avait encore un prénom. Alors que jusque-là Duras avait refusé de donner les droits de la pièce à tous les metteurs en scène, célèbres ou pas, c'est à la jeune actrice qu'elle les donne. Agatha, c'est elle. La complicité est immédiate entre les deux femmes malgré le demi-siècle qui les sépare. Elle, va jouer Agatha. Sera définitivement débarrassée. Croit-elle. Car un jour, les blessures ressurgissent. Elles ressurgissent toujours. Marquée par son interprétation d'Agatha et sa rencontre avec Marguerite Duras, Fabienne Périneau, d'un style bref et ciselé, parvient à décrire l'indicible. Un roman sur le coup de foudre d'une jeune fille pour un texte, son identification, sur les pouvoirs de la littérature et la force des passions.
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