Aller au contenu principal

6 résultat(s)

DVDDisponible
couverture du document
Une mère fait le choix de tout sacrifier pour l'éducation de son fils, espèrant lui donner une vie confortable... Le premier film parlant du grand réalisateur japonais, une oeuvre superbe qui décrit en détail la vie et les moeurs du petit peuple, leurs espoirs et leurs difficultés...
Disponible
Veuillez vous connecter pour réserver
DVDDisponible
couverture du document
Disponible
Veuillez vous connecter pour réserver
DVDDisponible
couverture du document
Veuf, Shuhei Hirayama approche de la retraite et vit toujours avec sa fille Michiko qui est en âge de se marier. Après le travail, Hirayama a l’habitude de retrouver des amis autour d’un verre. Un soir, l’un d’eux lui propose un mari pour sa fille, mais le père hésite. Quelques jours plus tard, le groupe d’amis retrouve un de leurs anciens professeurs qui, n’ayant pas su se séparer de sa fille, vit désormais dans la pauvreté. Hirayama se dit alors qu’il est temps de songer à l’avenir de Michiko…
Disponible
Veuillez vous connecter pour réserver
DVDDisponible
couverture du document
"Fleurs d'équinoxe" (1958, 118') et "Le gout du saké" (1962, 112') + "Gosses de Tokyo" (1932, 100', NB) en bonus... Images et son restaurés... Un formidable hommage au maître... Infos DVD : 6 DVD 9 / 4/3 / 2.0 / Informations LG et S-T non communiquées / Documentaires, interviews, hommage, bandes-annonces, affiches originales + livret (20 pages). Enfant de 11 à 15 ans ; Prêt et consultation ; 128, 92 Euros TTC
Disponible
Veuillez vous connecter pour réserver
DVDNon disponible
couverture du document
A l'occasion de leur premier voyage à Tokyo, des provinciaux découvrent que, pour leurs enfants, ils sont un poids : leur fils leur fait sentir qu'ils sont importuns, et leur fille, revêche et cupide, n'a de cesse de les confier à quelqu'un d'autre...
Non disponible
Veuillez vous connecter pour réserver
Film VODNon disponible
couverture du document

Le dernier film d’Ozu raconte un Japon en pleine transformation, à travers l’observation très fine de la sphère familiale. Sublime.

Sushei Hirayama, quinquagénaire de bonne composition et cadre dans une entreprise industrielle, habite avec sa fille, Michiko, et son second fils, Kazuo. Michiko se dévoue totalement au confort des deux hommes. Veuf, Sushei consacre son temps libre à ses amis, qu’il retrouve le soir dans un bar pour boire du saké. L’un d’entre eux a épousé une femme plus jeune, ce qui lui vaut les railleries et la jalousie des autres. Confronté au célibat de sa fille et à l’urgence de la marier, Sushei se trouve empêché d’agir face à la perspective de la solitude à laquelle cette union l'exposerait. 

Traditions en déperdition 
Sur la même trame narrative que Printemps tardif (1949), Ozu regarde le délicat entrelacs des relations qu’entretient un père avec ses enfants alors que celui-ci vit ses dernières années d’activité professionnelle et que le guette une inconsolable solitude. Si la société que dépeint Le goût du saké demeure très patriarcale – les femmes n’y jouent guère que des rôles de serveuses et d’épouses en devenir –, s’y esquisse déjà un certain déclin de la masculinité dominante. Les fils de Sushei, comme ses amis, font figure de gamins capricieux qui n’ont d’intérêt que pour la boisson et le divertissement, alors que la fatigue sinue insidieusement sur leur visage et dans leur démarche. Dépouillé de tout artifice et serti des fameux plans fixes du cinéaste – qui laissent transparaître l’isolement, l’absence et le temps qui s’en est allé –, ce dernier et majestueux chapitre d’une œuvre désormais en couleur contemple des traditions qui s’effritent au gré d’une société qui se modernise. Avec, pour plan de fin, Chishû Ryû, l’acteur fétiche d’Ozu, seul face à lui-même.

Veuillez vous connecter