Le philosophe s'interroge sur ce qui, intimement, quotidiennement et spirituellement, réduit la durée de vie de l'amour et érode le désir d'engagement, en partageant ses impressions de lecture de Malebranche, Descartes ou Spinoza. Il analyse le mariage comme un état de vie propice à l'épanouissement optimal du désir humain dans toute sa richesse et sa complexité.