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Une seule cellule, quasi immortelle, dotée de 720 sexes, d'un appétit dévorant, avec de surprenantes capacités d'apprentissage et capable de transmettre son savoir... Voici le blob ! Ni animal, ni plante, cet organisme vieux d'un milliard d'années défie les canons de la biologie et déconstruit les stéréotypes qui gravitent autour de l'intelligence du vivant.
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Nouveauté

La découverte d'un étrange squelette fossilisé, vieux de plusieurs dizaines de milliers d'années, sème le doute. Depuis 2006, les archéologues ont démontré que Sapiens et Neandertal ont mélangé leurs patrimoines génétiques. La sépulture, mise au jour chez un agriculteur basque, fait l'effet d'une bombe archéologique. Pendant des mois, préhistoriens, paléoanthropologues et généticiens travaillent d'arrache-pied pour percer les secrets de la tombe. Vision d'un destin alternatif pour l'humanité, plus écologique, sous influence néandertalienne.

 

 

Une étrange sépulture intrigue les paléontologues... Poisson d'avril ! Avez-vous découvert le pot aux roses ?

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Nouveauté

Ni animal, ni plante, ni champignon, le blob est un organisme vivant dont l'étude passionne les chercheurs. Une formidable enquête sur une drôle de créature.

 

Composé d’une seule cellule géante, il existe depuis plus d’un milliard d’années. Apparu sur Terre bien avant les plantes et les humains, il est l’une des formes de vie les plus primitives visibles à l'œil nu. De son nom savant Physarum polycephalum, le blob, qui n’a pas de forme fixe, peut mesurer jusqu'à 10 mètres carrés. Certains ressemblent à de grosses éponges, d’autres à des lichens ou à des coraux. Selon les espèces, cet organisme unicellulaire peut être jaune, mais aussi blanc, noir, gris, marron, bleu, rose ou rouge. Présent principalement dans les sous-bois des zones tempérées, le blob prospère à l’abri de la lumière dans un environnement humide. Bien que dépourvu de bouche, d’estomac, d’yeux et de pattes, il mange (avec un bel appétit) bactéries, levures et champignons, digère, perçoit la lumière et se déplace à la vitesse de 1cm/heure, quatre fois plus vite s'il est affamé. Sans cerveau ni système nerveux, il est toutefois capable d'élaborer des stratégies complexes pour assurer sa survie.

Blob l'éponge
Ni plante, ni animal, ni champignon, le blob est une curiosité de la nature. S'appuyant sur l'ouvrage à succès de l'éthologiste et chercheuse au CNRS Audrey Dussutour, ce formidable documentaire nous entraîne à la découverte d'un organisme mystérieux aux étonnantes capacités. Dans leurs laboratoires, de Toulouse à Florence, de Hokkaido à Brême et Boston, des scientifiques spécialisés dans des disciplines aussi variées que la neurobiologie, la biophysique, la biologie, l'informatique et la robotique multiplient les expériences pour en percer les secrets. Et ouvrir peut-être la voie, grâce à lui, à de nouvelles avancées en médecine et en intelligence artificielle.

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Selon les classifications naturalistes, il existe un véritable abîme entre le monde animal et le monde végétal. Pourtant, sur les traces de Charles Darwin, des biologistes réputés sont en train de montrer que l'intelligence des plantes est peut-être une réalité. Les plantes mettent en oeuvre des stratégies sophistiquées pour vivre leur sexualité, mais aussi pour voyager. Elles éprouveraient des sensations. Elles auraient même de la mémoire. Jacques Mitsch met en scène avec humour la vraie vie des plantes pour nous révéler leurs talents cachés, sans jamais se départir de sa rigueur scientifique. Nous entraînant aux frontières mouvantes qui séparent les règnes animal et végétal, il nous tend au passage un miroir drolatique et passionnant.

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Selon d’étonnantes expériences scientifiques, la musique nous rend plus forts et plus intelligents. Mais quels phénomènes biologiques et neurologiques déclenche-t-elle réellement chez nous ? Un voyage au pays des notes magiques et des vibrations addictives.

Et si Brahms ou les Rolling Stones nous donnaient des superpouvoirs ? Ces dernières années, les progrès des neurosciences ont démontré l’impact incroyable de la musique sur notre cerveau, à chaque étape de notre vie, du fœtus jusqu'au dernier âge. Antidote contre le stress, la douleur, les pertes de mémoire, mais aussi auxiliaire favorisant l’apprentissage du langage chez les enfants ou aidant à lutter contre la dyslexie, ses bienfaits apparaissent d’autant plus nombreux que des expériences, souvent étonnantes, se multiplient à travers le monde pour en mesurer l’étendue. À Dijon, la soprano Delphine Ribemont-Lambert chante à l'oreille des très grands prématurés pour améliorer leur état physiologique. Au Canada, les séances de speed dating en musique mettent en évidence l'influence de la musique sur nos émotions. À Leipzig, un chercheur a inventé une machine de fitness qui utilise les effets dopants de la musique sur nos performances sportives pour soigner certaines addictions...

Symphonie neuronale
Cette enquête scientifique et comportementale plonge au cœur des mécanismes de notre "symphonie neuronale", cette réaction en chaîne de stimuli déclenchée par la musique. À son écoute, les neurones se coordonnent comme les instrumentistes d’un grand orchestre : plus le cerveau se synchronise, plus il développe ses compétences. Selon les neuroscientifiques et psychologues cognitifs interrogés (dont le professeur Emmanuel Bigand), la musique peut être reconnue comme une nécessité biologique, générant de la dopamine au même titre que la nourriture ou le sexe, les deux piliers de notre survie. En contrepoint plein d’empathie, le film évoque les "amusiques", ces personnes souffrant de déficit de la perception et incapables d’identifier un morceau, tels Roosevelt ou Nabokov. Che Gevara, lui, n’arrivait pas à reconnaître l'hymne argentin. Rebelle jusqu’au bout.

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