Zu den bewegendsten und bisher unzugänglichen Schriften Stefan Zweigs zählen diese in seinen letzten beiden Lebensjahren entstandenen Schilderungen. Einmal mehr zeigen sie das ganze Spektrum seines Talentes, persönliche Erfahrungen wie auch historische Begebenheiten so anschaulich zu vergegenwärtigen, dass sie der Leser wie eigene Erlebnisse wiederzuerkennen meint. Die Titelgeschichte ist eine Erinnerung an die wohl glücklichsten Jahre, die er von 1919 bis 1934 in seinem Salzburger Heim verbrachte. »Nur Mut!« überliefert ein Erlebnis aus seiner Schulzeit, ähnlich folgenreich wie die »Nachhaltige Lektion« eines Besuches beim Bildhauer Auguste Rodin. Der Bericht »Was mir das Geld bedeutet« ist ebenso wie die Erzählung »Die Angler an der Seine« und seine von 1940 bis 1942 nur in Zeitungen und Zeitschriften veröffentlichten politischen Appelle, »Das große Schweigen«, »In dieser dunklen Stunde« und »Hartrott und Hitler«, Warnrufe vor Katastrophen, die er nicht mehr erleben wollte.
Ces récits écrits dans les deux dernières années de sa vie comptent parmi les écrits les plus émouvants et les plus inaccessibles de Stefan Zweig. Une fois de plus, ils montrent toute l'étendue de son talent pour évoquer des expériences personnelles et des événements historiques de manière si vivante que le lecteur a l'impression de les reconnaître comme s'il les avait vécus lui-même. L'histoire de couverture est un souvenir des années les plus heureuses qu'il a passées dans son foyer salzbourgeois de 1919 à 1934. "Nur Mut !" relate une expérience vécue pendant sa scolarité, tout aussi lourde de conséquences que la "Leçon durable" d'une visite au sculpteur Auguste Rodin. Le récit "Ce que l'argent signifie pour moi", tout comme la nouvelle "Les pêcheurs à la ligne sur la Seine" et ses appels politiques publiés de 1940 à 1942 uniquement dans des journaux et des revues, "Le grand silence", "En cette heure sombre" et "Hartrott et Hitler", sont autant de cris d'alarme avant des catastrophes qu'il ne voulait plus vivre.