3 résultat(s)
Il y a plus de 2 500 ans, le Bouddha Sakyamuni atteignait le Grand Nirvana. Aujourd'hui, la moitié de la planète est influencée par la pensée de celui qui fut le premier et le plus grand des révolutionnaires. Mais qui était véritablement l'homme qu'on a appelé le Bouddha ? Siddharta, fils du roi Suddhodan, est né entre 566 et 430 avant J.-C., au pied des contreforts de l'Himalaya. La famille du futur Bouddha appartenait à la tribu des Sakya.
Dans la vallée de Katmandou, au Népal, se trouve encore une tribu bouddhiste du même nom. Depuis des milliers d'années, leurs conteurs transmettent l'histoire de Siddharta... En confrontant les légendes transmises oralement depuis des millénaires, les récentes découvertes archéologiques et les sources historiques, le documentaire retrace la vie du Bouddha Sakyamuni et tente de mieux appréhender une pensée dont le sens fut souvent détourné. Avec la participation de Thich Nhat Hanh, moine bouddhiste vietnamien, et du Dr Robin Coningham, maître de conférence au département des sciences archéologiques de l'université de Bradford.
Le culte de Jeanne d'Arc est un mythe extraordinaire. Dans la mémoire collective, elle est la petite bergère qui mourut sur le bûcher après avoir sauvé la France. Tour à tour fille du peuple révolutionnaire, restauratrice de la monarchie et de l'ordre divin, chef de guerre victorieuse de la " Guerre de cent ans" puis patriote trahie par les élites et l’Église, à travers sa légende s'écrit toute l'histoire du nationalisme français. Tombée dans l'oubli durant trois siècles, Jeanne d'Arc est réapparue après la révolution pour occuper au XIXème siècle et jusqu'au régime de Vichy une place centrale dans les débats politiques et idéologiques pour ressouder les français autour de l'unité nationale.
Qui, aujourd'hui, peut se vanter d'être heureux sur son lieu de travail ? Certainement pas les 31% de salariés "activement désengagés", qui ont une vision négative de leur entreprise et peuvent aller jusqu'à lutter contre les intérêts de cette dernière. Inspiré de l'armée, le modèle d'organisation du travail, visant à contrôler l'ensemble des salariés en leur attribuant des tâches limitées, a peu changé depuis la fin du XIXe siècle. Aujourd'hui, employeurs comme employés doivent s'accommoder d'un système archaïque qui ne correspond plus à personne : ni efficace, ni rentable. Toutefois, au milieu de l'apathie générale créée par ce dérèglement, certains refusent la fatalité et travaillent à l'entreprise du futur.
Métro, boulot, bingo
Que peuvent avoir en commun le ministère de la Sécurité sociale belge, le géant indien HCL et Chronoflex à Nantes, leader en France du dépannage de flexibles hydrauliques ? Toutes sont des entreprises "libérées". Leur principe : la suppression de toute hiérarchie intermédiaire doublée d'une autonomie totale des salariés à propos des décisions prises pour améliorer leur productivité. Par ailleurs, ces entreprises ne sont pas cotées en bourse alors que leurs leaders sont choisis par les salariés. Et cela marche : leur croissance est relancée de manière assez spectaculaire ; les bonus, augmentations et dividendes ne tardent pas à tomber. Martin Meissonnier filme les femmes et les hommes qui, les premiers, et malgré le pessimisme général, ont su sortir du cadre établi pour inventer de nouvelles formules. Une bouffée d'air frais bienvenue.