Récompenses : 4 clés Télérama (janvier 2019).
Revue de presse : " Lionne gothique, l'Américaine à la voix déchirante et à la douleur chevillée au corps teinte son blues de pop et de jazz. (...) Et le voilà enfin, ce disque tant attendu : le miraculeux "Blood siren", album de la résurrection pour une chanteuse de 33 ans métamorphosée, plus sobre, plus calme, plus jazz-pop que blues-punk, ne déparant pas dans la ligne classieuse du label Blue Note." (Anne Berthod, Télérama).
Résumé : Mesdames et Monsieur - voici une artiste à nulle autre pareille! Sa singularité n'interdit toutefois pas de penser à Adele ou à Fiona Apple, à Janis Joplin ou à Aretha Franklin. Ajoutez un mélange d'humour et de désespoir, de jazz et de blues, de poésie et de pop et vous obtenez... Sarah McCoy. Parvenir à impressionner le producteur Chilly Gonzales n'est pas une mince affaire. Le musicien fut marqué par le talent de Sarah McCoy qu'il la présenta sur le champ à son vieil ami, le producteur Renaud Letang (Feist, Manu Chao, Charlotte Gainsbourg, Jane Birkin, Mocky, Alain Souchon). Après quelques tests plus que concluants, ils entrèrent aux studios Ferber début 2018. Et voilà le résultat : Blood Siren, le splendide premier album de Sarah McCoy. Dans ses chansons, Sarah McCoy parvient à trouver un équilibre parfait entre mélodie, sensualité et un imaginaire dont la noirceur peut parfois s'avérer effrayante. 'Je suis le monstre, je suis la bête, priez pour moi...', chante-t-elle avant de se présenter comme 'le croque-mitaine, caché sous (n)otre lit'.