L'auteur fait un parallèle entre l'atmosphère imaginative propre à la poésie et l'imagination à l'oeuvre en mathématiques. Il s'appuie sur l'exemple des nombres imaginaires (les nombres complexes, comme la racine carrée de nombres négatifs) pour nous faire vivre le voyage imaginaire qui a conduit les mathématiciens de la Renaissance italienne à envisager ces nombres.