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J.-L. Fournier fait le récit de son autre vie, celle d'ouvrier agricole pendant quelques mois. Amoureux de la fille du fermier, il décide de reprendre la ferme et met en scène son quotidien.
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Raconte l'histoire du petit frère du Grand Meaulnes, Antoine, étouffé par la notoriété de son frère aîné. Il a été obligé de fuir sa famille pour conquérir de l'importance, même à ses propres yeux.
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Le petit Jean-Louis a toutes les bonnes raisons pour aller cuire dans les marmites de l'enfer : il a mis la sainte Vierge dans les WC de l'institution Saint-Joseph, il regarde les dames toutes nues dans les livres et il a fait à Dieu une promesse qu'il ne va certainement pas tenir. Quand il regarde un crucifix, il baisse les yeux : il a honte. Il a quand même envie d'aller au ciel.
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Je suis veuf, Sylvie est morte le 12 novembre, c'est bien triste, cette année on n'ira pas faire les soldes ensemble. Elle est partie discrètement sur la pointe des pieds, en faisant un entrechat et le bruit que fait le bonheur en partant. Sylvie m'a quitté, mais pas pour un autre. Elle est tombée délicatement avec les feuilles. On discutait de la couleur du bec d'un oiseau qui traversait la rivière. On n'était pas d'accord, je lui ai dit tu ne peux pas le voir, tu n'as pas tes lunettes, elle ne voulait pas les mettre par coquetterie, elle m'a répondu je vois très bien de loin, et elle s'est tue, définitivement.J'ai eu beaucoup de chance de la rencontrer, elle m'a porté à bout de bras, toujours avec le sourire. C'était la rencontre entre une optimiste et un pessimiste, une altruiste et un égoïste. On était complémentaires, j'avais les défauts, elle avait les qualités. Elle m'a supporté quarante ans avec le sourire, moi que je ne souhaite à personne. Elle n'aimait pas parler d'elle, encore moins qu'on en dise du bien. Je vais en profiter, maintenant qu'elle est partie. Jean-Louis Fournier souhaitait mourir le premier, il a perdu. Sa femme partie, il n'a plus personne avec qui parler de lui. Alors pour se consoler, ou pour se venger, en nous parlant d'elle, il nous parle de lui.
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Sur le ton de l'humour, l'auteur fait part de son désarroi face à l'abondance caractérisant les sociétés modernes. Il y a trop de journaux sur la devanture d'un kiosquier, trop de chaînes de télévision, trop d'embouteillages, trop de choix dans les supermarchés, etc.
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Après avoir créé le ciel, la Terre, les animaux et l'homme, Dieu commença à s'ennuyer. Il lui fallait de l'activité. Il décida de chercher du travail et il rédigea son curriculum vitae...
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DVD 1 : "L'Indispensable encyclopédie de Monsieur Cyclopède" : l'intégrale des "Minutes nécessaires" présentées par Jean Yanne... / DVD 2 : "Les Bons Conseils du professeur Corbiniou" (programme inédit en DVD)... Grâce à Desproges, vous saurez enfin reconnaître la Joconde du Jocond ou euthanasier un kamikaze !
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Retrouvez les angoisses hilarantes d’une vache neurasthénique et hypocondriaque qui n’hésite pas à faire part de ses questions existentielles à son médecin. Le DVD contient 30 épisodes.
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60 chroniques de la vie quotidienne où se croisent riches et pauvres qui ne vivent pas dans le même monde et qui, par conséquent, ne parlent pas la même langue. Un inventaire sociologique et humoristique du parler social répondant à des questions telles que : comment dit-on caviar en pauvre ? chômage en riche ?
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Je regarde une vieille photo. J'étais pas mal, avant. Pourquoi, chaque année, je me trouve de moins en moins bien ? Peut-être parce que c'est l'hiver ? Si vous passez l'hiver, vous verrez : l'été, c'est pareil. Vous savez comment on s'aperçoit qu'on est vieux ? Quand, même bronzé, on reste moche. J.-L. F.
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L'auteur raconte ses souvenirs d'enfance dans une ville de province, au milieu d'une famille pas comme les autres, avec un papa docteur en médecine qui s'habille comme un clochard, fait ses visites en pantoufles, perd sa voiture dans un champ de betteraves et joue à la balle avec des oranges. Un papa qui fait rire ou qui fait pleurer.
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C'est l'histoire d'un papa singulier, docteur dans une ville de province, qui soigne des gens qui ne le payent pas mais lui offrent toujours à boire ; un papa à la fois j'menfoutiste et irresponsable ; un papa qui menace de tuer la maman, "pas méchant, seulement un peu fou quand il avait beaucoup bu. Il a jamais tué personne, mon papa, il se vantait".
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« Petit, chaque fois que j'écrivais quelque chose ou faisais un dessin, j'avais besoin de le montrer à ma mère pour savoir si c'était bien.
Qu'est-ce qu'elle penserait aujourd'hui de ce que je suis en train d'écrire sur elle ?
Je suis inquiet. Elle doit en avoir assez qu'on parle de son mari alcoolique. Ne pas avoir envie qu'on parle d'elle, la discrète, la réservée, de ses maladies imaginaires, de sa tristesse.
Va-t-elle savoir lire entre les lignes, comprendre que ce livre est une déclaration d'amour ? Que j'essaie de me rattraper, moi qui ne lui ai jamais dit que je l'aimais, sauf dans les compliments de la fête des Mères dictés par la maîtresse.
Ce livre, je l'ai écrit pour la faire revivre.
Parce qu'elle me manque. »
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Depuis son enfance, Sébastien est considéré comme différent. A la mort de sa mère, il ne pleure pas, à l'école il ne récite pas ses tables, il les chante, au square, il ne joue pas au foot, il préfère rester avec la jolie Lili. A l'âge adulte, devenu jardinier, il répond à l'appel des fleurs et aux quelques personnes qui n'ont pas peur de lui. Il approche alors le bonheur tout en simplicité. ©Electre 2016
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Revisite les trois disciplines en mêlant pédagogie et humour, pour apprendre à conjuguer les verbes péter, choir ou pondre, calculer la vitesse d'un hareng entre Boulogne et Douvres, étudier les animaux et les plantes.
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Le premier souvenir de solitude  ? Un petit garçon coiffé en brosse qui réclame sa mère à l'accueil d'un grand magasin.Plus tard, c'est un enfant de 10 ans qui nage seul dans la mer du nord et qui lorsqu'il se retourne découvre la plage vide  : personne ne l'a attendu. Puis c'est la première danse refusée, la première rupture, le premier deuil, mais c'est aussi tous ces moments choisis, voulus, espérés, goutés  : seul avec un livre, avec une musique, seul à regarder les autres, seul en écrivant. Jean-Louis Fournier est toujours ce petit garçon, fils unique qui rêvait d'amitiés et d'une grande famille mais qui espérait aussi s'échapper, grandir, rester seul.Aujourd'hui dans un grand appartement, après la mort de sa femme, de ses amis, de son éditeur, ce désir des autres et ce besoin de solitude sont restés les mêmes et il passe de l'un à l'autre. Avec un mélange de douceur, de tristesse et d'espièglerie, il regarde les fenêtres toujours fermées de ses voisins (des gens seuls comme lui  ?), il observe ce monde où les hommes sont ultra connectés et semblent n'avoir jamais été aussi seuls, il attend la visite d'une jeune femme qui l'emmène au musée, qui le distrait, lui apporte sa jeunesse  : mais des deux qui est le plus seul  ?Un livre tendre, délicat, mélancolique parfois qui ressemble à une aquarelle de Turner et à un dessin de Sempé. 
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On ne dit jamais merci > aux animaux. Pourtant, on devrait. Ils enchantent le ciel, la mer et la terre. Sans les animaux, il n'y aurait pas de paradis terrestre. Ils ne méritent pas l'ingratitude des hommes. Ils méritent leur reconnaissance. Alors, comme ils ne le demandent jamais, on va leur dire merci >. Jean-Louis FOURNIER
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