A partir de l'étude de cinq cas (deux concernent des rites mortuaires nouveaux relatifs à des enfants morts in utero ou des malades morts du sida, les trois autres concernent des rites de naissance ou d'adolescence), l'auteur répond à un questionnement : pourquoi un rite ? que met en jeu un rite ? Peut-on créer des rites qui par définition sont hérités ?