''Au bois de mon coeur''pourrait apparaître comme un projet inattendu de la part d'un jazzman comme Christian Escoudé. Mais si l'on se rappelle que George Brassens était un grand amateur de jazz (on pense à ses disques avec Lionel Hampton, Henri Salvador...), un véritable fan de Django Reinhardt et qu'il achetait ses guitares chez le même luthier que nombre de gitans ou manouches, on peut s'interroger : l'hommage le plus légitime, le plus original, le plus pertinent n'est sans doute pas celui qu'on croit.