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A travers les portraits de trois vieux immigrés du quartier de la Goutte-d'Or, de la belle Zaza, de Mazout ou du marabout Hadj Fofana Bakary, Djemaï nous restitue une mémoire et un autre visage de la France.
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Un ancien policier, qui ne s'est jamais remis d'avoir causé la mort accidentelle de son fils, erre dans une ville de l'est de la France. SDF, il se croit indigne d'une vie normale. Le récit alterne les choses qu'il voit dans cette ville qui lui est étrangère et où personne ne le connaît et les souvenirs de sa vie antérieure : son enfance, ses parents émigrés, son épouse et son fils.
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Un émigré algérien de 58 ans, quitte Avignon pour aller retrouver à Nancy son fils de 25 ans. C'est durant le trajet en car que se déroule le roman. Aux choses vues par le vieil homme - ses compagnons de voyages, une station service, un accident de circulation - se mêlent le souvenir d'un voyage en autocar qu'il a fait enfant, avec son propre père, en Algérie et l'évocation de ce que fut sa vie.
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Le 24 décembre 1847, l'émir Abd el-Kader (1803-1883) attend d'embarquer sur le Solon dans le petit port de Djemâa-Ghazaouët, près de la frontière marocaine. La veille, après quinze années de résistance contre le corps expéditionnaire français, il a signé sa reddition. Retour sur la vie de celui qui fut à la fois chef de guerre, chef d'Etat, poète, maître soufi et grand voyageur d'Algérie.
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" Je continue de fouiller, de dénuder, de creuser plus loin, plus profond, jusqu'à l'os. La patience est une vertu, un moyen de faire ployer le temps, d'en faire un allié, une arme décisive. Une façon aussi de ménager son souffle, d'aiguiser la lame, le jugement, la sentence. Tout peut servir : l'émotion, la nostalgie, les rancœurs, la haine, la culpabilité, la fatigue de soi et le dégoût des autres. Sans oublier les histoires de fesses, la délation, le ressentiment et la peur. Surtout la peur qui grignote, qui dévore, qui liquéfie. En somme, je m'intéresse à tout ce qui fait la matière, la trame, la fibre, les faiblesses, les failles des individus. Ainsi commence le rapport cynique et froid d'un enquêteur anonyme, membre d'une étrange police, qui officie dans une villa discrète et isolée, au 31, rue de l'Aigle.
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Algérie, années 1950. Mokhtar grandit dans le village natal de son grand-père Kouider, qui passe ses journées auprès d'un figuier. Un jour, le père de Mokhtar prend la résolution d'aller vivre en ville. Le jeune garçon y découvre la mer, le cinéma, le hammam, la lecture et l'écriture. Un soir, sa mère lui écrit leur nom de famille dans la main. C'est un déclic, alors que la guerre sourd. ©Electre 2022
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«?Un matin, comme si elle voulait lui présenter un membre de la famille qui lui était cher et que Mokhtar ne connaissait pas, Aïchouche le prit par la main et l’emmena au pied du figuier qu’elle aimait, lui dit-elle, pour sa bonté et sa générosité. Avec les yeux encore vierges et étonnés de la petite enfance, Mokhtar vit d’abord le tronc, tellement plus haut et plus vieux que lui. Il était aussi plus robuste que son grand-père et n’avait pas besoin de s’appuyer sur un bâton en bois d’olivier. Malgré son âge, ses cicatrices et les traces de sève qui ressemblaient à du sang blanc coagulé, il était solidement planté sur le sol en terre battue où cheminaient, au milieu des feuilles mortes et des brindilles d’herbes, des fourmis. En regardant les fourmis, Mokhtar imagina que les racines descendues du tronc se mettaient elles aussi à marcher, à courir sous la maison avant de se disperser et de se perdre dans le grand ventre de la terre qu’il croyait brûlant comme le four en boue séchée d’Aïchouche.?»
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