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Page COMANN
Souviens-toi de Sarah
Diane, éditrice chez Sandwood Publishing à Londres, reçoit un manuscrit anonyme. Une jeune adolescente, Sarah, y confie sa vie de misère dans les années sombres de l’Angleterre des années 60. Elle y avoue aussi les crimes qu’elle a dû commettre pour échapper à son destin. Vraie confession ou habile fiction d’un écrivain contemporain ?
Bouleversée par ce manuscrit, Diane cherche à en retrouver l’auteur et part sur les lieux où Sarah dit avoir vécu et souffert. Dans sa quête de vérité, elle traverse les paysages époustouflants d’Irlande et d’Écosse.
Mais ce qui commence comme une enquête littéraire vire à l’horreur. En ouvrant le journal de Sarah, Diane a poussé la porte de l’enfer... c’était hier et rien n’est effacé. Aujourd’hui encore, des forces obscures manœuvrent dans l’ombre pour dissimuler leurs crimes.
Prix du Cercle du Sablier 2022
Page COMANN est le pseudo collectif de deux auteurs de polars chevronnés, réunis pour la première fois. Amoureux de l’Irlande et de l’Écosse, ils défendent un style de roman « à l’anglaise ». Un humour acide et lucide, mariant le naturalisme flamboyant des paysages à la cruauté historique et sociale d’une Grande-Bretagne en trompe-l’œil.
Été 1955, Alpes-De-Haute-Provence.
Le village du Mazet-sur-Rourle se prépare à fêter le 14 juillet.
Un feu d’artifice sera tiré en apothéose au-dessus de la garrigue. Au cœur de cet été de canicule, l’arrivée d’un étranger, d’un bomian comme on dit au pays, fera exploser bien autre chose que des fusées.
Les secrets, les non-dits, les mensonges. Tout ce que les habitants cachent depuis trop longtemps derrière leurs jalousies.
Pour beaucoup, c’est l’heure des comptes.
Dans le théâtre d’une nature sublime et éternelle, indifférente aux malheurs mesquins des hommes et des femmes, un drame provençal où personne ne s’attend à la violence du bouquet final.
Page COMANN est le pseudo collectif de deux auteurs, déjà réunis sous les titres Souviens-toi de Sarah et Outaouais, qui défendent l’écriture sous toutes ses formes.
Celle de Ian MANOOK, pétillante et vive, courant du noir le plus cruel à l’humour ciselé de ses dialogues.
Celle de Gérard COQUET, précise et figurative, où chaque sentiment est une corde accrochée à l’arc de ses mots.