Revue de presse :"Un garage rock voyageur et volontiers ensoleillé." (Libération),
"Des morceaux qui provoquent des visions ou des hallucinations." (France Inter).
Résumé : Chainon manquant entre Fela Kuti, les Doors et the Seeds. Des rythmes indolents qui convoquent Amérique Latine et Afrique. Le plus surprenant dans "Not easy to cook", c'est la moiteur qui s'en dégage. Difficile de résumer l'affaire autrement qu'en comparant ces 10 chansons à une cocotte-minute où auraient cuit des bouts de Dance Hall, de ska londonien et de dub hawaïen décapsulé avec les fesse. C'est là que le disque, enregistré par le groupe dans son village français du bout du monde, réussit un petit miracle : sonner français, mais côté Polynésie française. Sur "Not easy to cook", on entend des grenouilles, des oiseaux, le bruit de la jungle dans un salon. Ceux déjà traumatisés par le vibraphone d'Arthur Lyman et la Lounge music de Les Baxter devraient se sentir chez eux ; les novices découvriront enfin autre chose que les samedis chez Nature et Découverte.