Ambitionne de voir nos bons esprits et nos décideurs hexagonaux se débarrasser du voile d'idéologie qui les empêche de mener un aggiornamento fort et radical de notre modèle social. Le constat est pourtant simple : la France, tout en se flattant d'un taux de prélèvements obligatoires parmi les plus élevés du monde, présente une valeur redistributive de ces prélèvements exécrable, en ne faisant bénéficier de ses largesses que ceux qui en ont désormais le moins besoin. Au détriment des jeunes, des chômeurs, des femmes et des jeunes issus de l'immigration, qui pour beaucoup enragent.