Sur Mersi, aux couleurs blues, maloya et rock, Christine Salem rend grâce à ses ancêtres et chante l'espoir. Pour ce nouvel album, l'icône réunionnaise emmêle les percussions de son île avec les mélopées d'un violon virtuose. Dans ses chansons, aux couleurs blues, maloya ou rock, elle rend grâce à ses ancêtres et chante l'espoir d un monde meilleur. Sans compromis mais fort d'une sensibilité à fleur de peau, dans la puissance et la douceur, Mersi ressemble à Christine Salem. Sur ce disque, parce qu'elle déteste la routine, Christine Salem a choisi comme fil rouge le violon virtuose du compositeur, arrangeur et chef d orchestre Frédéric Norel. Elle est accompagnée de Seb Martel à la guitare. Anne-Laure Bourget aux percussions et Jacky Malbrouck aux percussions réunionnaises. Ce dernier fait les choeurs sur le morceau Tyinbo qui sera accompagné d'un très beau clip en janvier. Enfin, c'est Jean Lamoot qui signe la réalisation artistique de cet album. Alors bien sûr, le maloya cimente cette aventure. Mais aux fondements de ses chansons, il y surtout le blues. Christine Salem, et cela s'entend, adore cette musique née de la terre, des douleurs et de l'histoire. Et son chant incarne, à lui seul, ce style doté de vertus magiques et consolatrices. Car dans ce disque, il est question de spiritualité. Sans elle, l'artiste ne saurait concevoir sa musique, ni sa vision du monde. À chacune de ses chansons, ses ancêtres l'accompagnent.