J'entrais dans le cercle de l'élite et j'ignorais tout de l'Organisation. [...] Ma seule excuse était ma stupidité, cette idée que le travail n'est pas la vie, la vraie, et que l'on peut, sans dommage, être impitoyable à son bureau, et bon à l'extérieur. Lorsqu'Ivan rejoint l'Organisation qui traque les faibles, les vieux cadres, les mauvais travailleurs, il croit encore n'être qu'un témoin, libre de ses pensées et de ses actes, mais il est déjà trop tard. Une fable moderne sur notre société, les dérives du monde du travail, l'art de diriger et d'être dirigé, tous les totalitarismes cachés.