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Decca a souhaité rendre hommage pour la première fois à un artiste au profil atypique. Si son activité de concert reste orientée vers le répertoire traditionnel comme l'attestent les concertos de Brahms et Berg enregistrés en public à Paris (CD4), il s'oriente vers des choix plus personnels pour l'enregistrement de ses disques. D'abord Paganini, avec les deux premiers concertos enregistrés en 1966, puis des pièces rares pour violon et piano datant de l'année suivante (CD1). En 1968, Gitlis se consacre à Saint-Saëns et un de ses trois concertos, auquel s'ajoutent des pages plus rarement jouées comme le Morceau de concert op.62 et le Caprice en ré majeur. Avec le Polonais Wieniawski, il choisit en 1971 un pur héritier de Paganini, dont les deux concertos n'ont d'autre but que de mettre en évidence la virtuosité du soliste par l'accumulation de difficultés techniques (CD3). 1976 sera l'année de l'enregistrement du cheval de bataille de tout violoniste, celui des 24 Caprices pour violon seul de Paganini (CD2). Quant au dernier disque du coffret (CD5), il illustre le répertoire populaire de bis célèbres.

Après le succès de son 1er volume, Corinna Simon dévoile Piano for Kids II, un album particulièrement agréable et accessible pour les enfants comme pour tous ceux qui aiment le piano. Parmi les 41 titres de l'album, figurent notamment des interprétations des plus grands compositeurs classiques tels que Bach, Debussy, et Tchaikovsky en passant par Prokofiev, Tailleferre ou encore Handel.

Récompenses :Le choix de France Musique. Résumé : Les six quatuors de Bartok représentent non seulement un sommet dans le genre du quatuor à cordes, mais aussi un panorama extraordinaire de l'évolution politique et artistique de la 1ère moitié du 20ème siècle. Un sommet du genre par la qualité de ses quatuors, qui ont complètement renouvelé le genre, inventant nombre de nouveaux procédés d'écriture (le pizzicato "Bartok"), repensant totalement le type de dialogues des quatre instruments, lui imposant de nouvelles règles; cette intégrale dialogue avec l'autre géant de l'histoire du quatuor à cordes, Beethoven. Pour une formation comme le quatuor Diotima, engagé dans la création, ce corpus unique et magnifique est une sorte de "bible", de référence de tous les instants. Nous avons fait notre cette devise chère à Bartok : "jouer les oeuvres de répertoire comme des oeuvres nouvelles, et celles nouvelles, comme des pièces de répertoire