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" Folies berbères " prouve la capacité de Karimouche à se renouveler en affirmant ses fondamentaux : la force poétique, la minutie de la chronique sociale, sans oublier l'humour ravageur. Si l'artiste parvient à danser sur les crêtes en funambule, c'est en vertu d'une expérience unique : rompue au stand-up, actrice pleine d'énergie et de justesse dans des séries à succès telles que " Les Sauvages " ou " Cannabis ", elle connaît le mystère des apparences ; après des centaines de concerts à travers le monde, elle investit les scènes comme une boule de feu. Dans sa " folie franco-berbère ", où l'autodérision tutoie l'Auto-Tune, Karimouche accomplit un tour de force : rendre sa sincérité au chant du caméléon ! Chanson française, musique orientale, trap, electro... : si les influences sont multiples, le style, lui, s'impose comme résolument novateur et épuré. Dans son troisième opus Folies Berbères, Karimouche aborde frontalement le sujet de ses origines. En témoignent le titre de l'album, mais aussi celui de certains morceaux comme " Buæul " ou " Princesses ". Carima Amarouche, alias Karimouche, née à Angoulême dans une famille berbère, balaie les fausses contradictions et les dualités stériles pour célébrer une nouvelle façon d'habiter l'Hexagone et le monde. La chanteuse féline abolit les barbelés entre les cultures. Sous l'empire des " Folies berbères ", il n'est qu'une pluralité de goûts, de beats hypnotiques et d'accents vibrants sous une voix chaude et frondeuse.
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A la fois rebelle et légère, Claire Keszei, dite Clarika, impose dans le paysage de la chanson française les modulations délicates de sa voix et la puissance ciselée de ses textes, incisifs et intimistes. Attentive au monde, Clarika se définit comme une femme de son époque, jonglant entre la fragilité intrinsèque qui l'habite et la combativité qui l'anime face aux aléas de la vie contemporaine. "À la lisière" est son huitième album, réalisé par Florent Marchet et François Poggio. On y retrouve Clarika à la frontière entre les ineffables vertiges de l'amour et les grandes bascules de l'existence. Elle dessine en filigrane, avec finesse et causticité, le portrait éclaté d'une femme aux prises avec son époque
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À l’heure d’imaginer ce septième album, mais son premier pour le label AT(h)OME, Da Silva a fait table rase de son passé (plus ou moins) récent. Pour ce disque qu’il a un instant pensé enregistrer à Cuba, il a choisi comme fil conducteur de ne pas en avoir. Il rêvait surtout "de bordel, de désordre", de renouer avec ces premiers vertiges, en essayant d’être le moins professionnel possible, en redevenant un débutant "qui fait un peu n’importe quoi". Mais qui finit par le faire bien – et c’est bien là l’essentiel –, grâce à une écriture décomplexée, grâce à une certaine négligence qui mène parfois à l’excellence. « Au revoir chagrin » dévoile dix chansons (et ici, ce n’est pas un mot à prendre à la légère) aux personnalités bien trempées. Des chansons qui flirtent avec la pop (« S’agapò »), le reggae (« Le Garçon »), la valse (« Rien »), et prennent un accent brésilien (« Loin ») ou mariachi (« À l’endroit de la douleur »). Des chansons où l’on croit apercevoir les silhouettes de Tom Waits, Jean-Louis Murat et Brigitte Fontaine, où l’esprit du label Saravah semble s’être glissé dans les silences, où l’on croise Sylvie Hoarau de Brigitte ou Hakim Hamadouche, un proche du regretté Rachid Taha. Épris comme jamais de cette liberté qui lui colle pourtant à la peau comme ces tatouages qu’il affectionne, Da Silva a pris ses responsabilités pour imaginer un album exotique et métissé, une invitation à un voyage musical et mélodique "loin du monde" tel qu’on le connait aujourd’hui. Un voyage pour lequel on se contentera de prendre un aller simple.
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