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Dans''Renayate''(''Les femmes''), Hourïa Aïchi, incarnation de la musique de l'Aurès, rend hommage aux grandes interprètes féminines algériennes. A travers les chansons de Meriem Fekkaï, Rimitti, Chérifa, Fadela d'Oran ou Djura, ce sont toutes les femmes, de toutes les générations, qu'elle célèbre. Ces femmes chantent l'amour, l'exil, la guerre, la solitude - la solitude de la femme dont l'homme travaille en France, la solitude dans les petits hôtels meublés de Paris. Elles chantent aussi les travaux de la laine, de la terre, toutes ces tâches réservées aux femmes et qui annoncent, dans la société traditionnelle, les rudesses de la vie dans les turbulences de l'histoire contemporaine. Renayate a d'abord été un spectacle créé au festival des Suds à Arles. Un processus de création autant que de plaisir, un processus de liberté autant que de respect.
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Le retour du duo magique et subversif de la musique orientale : Duoud. Après huit ans de pause au cours desquels Mehdi et Smadj sont allés chacun de leur côté explorer de nouveaux projets, l'envie de refaire de la musique ensemble revient. Duoud se reforme : les deux amis se retrouvent pour poser les bases d’un nouveau répertoire. Cette nouvelle rencontre conduit Duoud ailleurs dans le style et le duo recommence à tourner, avec cinquante dates sur plusieurs continents - dont une mémorable tournée en Chine où ils découvrent ce que sont les Menshen, gardiens du seuil dans la culture chinoise traditionnelle. Le concept (et le titre) de l'album est né. Duoud nous propose un album acoustique et électronique, à la fois maghrébin et occidental, fermement enraciné dans la tradition et en même temps résolument moderne.
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La musique d'Atine est une musique persane, bien du présent. Atine, ce sont cinq musiciennes qui arpentent la musique savante et populaire persane, sans s'encombrer de redites, d'imitations. Elles retrouvent aujourd'hui les ivresses des ghazals de Saadi, des poèmes de Cheikh Bahaï, des grands romantiques de l'ère Kadjar. L'ordonnancement raffiné de la musique persane, les ruissellements emmêlés du târ et du qanûn, l'agilité du tambour tombak, la noblesse profonde du chant sont ici moirés des reflets sombres de la viole de gambe européenne. Ce n'est pourtant pas une occidentalisation, ni une réactualisation, ni une subversion. Aucune note d'Atine qui ne soit persane. Mais c'est une Perse au sens large.
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Nishtiman Project est de retour ! Kurdistan, pays des Kurdes, est partagé entre quatre pays, la Turquie, l'Irak, l'Iran et la Syrie. Hussein Zahawy a dit, en fondant Nishtiman : " Notre musique, à l'écoute, est de toute évidence moyen-orientale mais elle n'est ni arabe, ni persane, ni turque. " La tonalité générale de ce troisième album est plus colorée, plus joyeuse, il porte le nom du Printemps : Nowruz.Un projet lumineux, tirant ses sources musicales et scripturales de la vaste mémoire collective kurde tout en respectant les particularités de chaque dialecte.
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" Je voulais présenter d'où je viens et où je vais ", résume Rusan Filiztek à propos de son premier album solo : oser chanter dans plusieurs langues (le turc, le grec, l'arménien) et retrouver l'esprit des troubadours des temps anciens. Originaire de Turquie, Rusan Filiztek utilise naturellement le saz, instrument emblématique et représentatif des différents territoires qu'il a traversés (Syrie, Irak, Kurdistan, Iran, Arménie, Géorgie, avant d'arriver en France en 2015) A part deux titres traditionnels sur des modes orientaux en langue grecque et arménienne pour lesquels il a pris un oud grec, et pour Sans souci, chanson gallo bretonne qu'il accompagne au saz à trois cordes, le saz à 7 cordes est utilisé tout au long de ce bel album, jouant un rôle central qui reflète la réalité de toutes les cultures d'Asie Mineure.
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Résumé : Le nouvel opus d'Arat Kilo, machine à groove d'un éthiojazz ouvert et décapant, avec la chanteuse malienne Mamani Keita et le slammer newyorkais Mike Lad. Avec ce troisième album, Arat Kilo a décidé de changer : le groupe s'épanouit là où il est le meilleur (le groove) et s'ouvre à d'autres cultures musicales. Sans jamais quitter l'Addis-Abeba des années 70, le groupe a réussi à faire aboutir une évolution réelle en accentuant le caractère dansant de ses compositions : basse, batterie, guitare, clavier et cuivres, une machine à groove bien huilée. Arat Kilo a aussi intégré avec une stupéfiante aisance deux chanteurs habitués à arpenter des horizons bien différents, la malienne Mamani Keita et l'américain Mike Ladd.
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Suite à la réalisation de "Souffles du monde" en 2015, initiée par le flûtiste renommé Henri Tournier grand explorateur des musiques du monde, les échanges passionnants avec l'ambassadeur de la musique de Mongolie, Enkhjargal Dandarvaanchig dit "Épi", ont donné naissance à un nouveau voyage, "Souffles des Steppes". La rencontre des deux univers musicaux et culturels, mettent en lumière compositions originales et chants traditionnels Mongols : les diverses sonorités des différentes flûtes et les fameux chants diphoniques de Mongolie "le khöömi". Les pratiques vocales et instrumentales mongoles incarnent toutes à leur façon la place fondamentale de la nature dans la vie. "Souffles des steppes" met en miroir la palette exceptionnelle des techniques de chant traditionnel d'Épi avec les sonorités des flûtes d'Henri Tournier, les compositions originales avec des pièces du répertoire traditionnel de Mongolie revisitées, créant ainsi une musique inédite. Inclus 1 titre bonus.
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Abu Sadiya faisait peur aux enfants. Les guides touristiques qui parlaient de lui le réduisaient à un nom commun - le boussadia. Vêtu de peaux de chèvres et de haillons, coiffé d’un bonnet conique, ce Noir qui dansait en roulant des yeux fous était le Père Fouettard des rues tunisiennes. Il les a désertées il y a quelques dizaines d’années et Yacine Boularès, qui en avait entendu parler par son père, s’est passionné pour ce personnage d’un folklore chassé des rues par la modernité, l’ordre et la bienséance. Le saxophoniste Yacine Boularès rencontre Vincent Segal en 2014 sur l’enregistrement de l’album Encanto del mar dans lequel le ténor Placido Domingo aborde des répertoires méditerranéens en compagnie de musiciens de jazz. L’entente est immédiate entre le jeune jazzman et son aîné qui a déjà travaillé sur des dizaines de projets dans tous les genres et tous les styles. Yacine Boularès lance alors l’idée d’Abu Sadiya. La rencontre entre le jazz, les rythmes et les modes du stambeli se fera à trois, en compagnie du batteur américain Nasheet Waits. Abu Sadiya est une suite presque narrative, passant par le déracinement, le désespoir, la mort, la transformation, et Yacine Boularès tient à ce que la limite entre improvisation et musique écrite ne soit pas toujours sensible. Yacine Boularès, Vincent Segal et Nasheet Waits s’aventurent entre les rues de Tunis et celles de Manhattan, entre tradition, jazz et musique libre, entre les tragédies de l’Histoire et la résilience contemporaine, entre les vieux secrets et la liberté contemporaine. Ce n’est pas seulement un hommage à cet Africain déporté en esclavage ; c’est sa revanche.Bertrand Dicale
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