Le descendant du général de Montholon (qui accompagna Napoléon à Sainte-Hélène) fait le récit de sa découverte du journal de son aïeul, dont R. Maury analyse la portée historique : ce témoignage inédit confirme la thèse de l'empoisonnement à l'arsenic de l'Empereur, tout en en nuançant les circonstances.