Des hommes armés font irruption dans la gare de Deauville. Ils tirent dans la foule, au hasard. La mère, la femme et la fille de Martin Modot sont mortellement blessées. De retour à Paris, Martin, profondément choqué, est interrogé par l'inspecteur Gouvion et contacté par le «Capmac», une association d'autodéfense. Comme les démarches de la police lui semblent trop lentes, Martin décide de retrouver lui-même les coupables et s'octroie les droits de haute et basse justices.