Dans sa version japonaise, le hip-hop se révèle sous sa forme la plus frontale, brute, sans dramaturgie, face public : aujourd’hui, les meilleurs danseurs du genre viennent du pays du soleil levant. Nouveaux gestes, virtuosité inouïe et références puisées dans les années 1980, mais aussi du côté des comédies musicales des années 1930 et 1940 : le hip-hop japonais s’impose comme une véritable encyclopédie du mouvement, mené par un sens de l’unisson époustouflant.