Il y a des jours où on n’en peut plus de la ville, où nos yeux ne supportent plus de ne voir que des immeubles et nos oreilles de n’entendre que des moteurs... Alors on se souvient de la Nature, et on pense au Bois. C’est la campagne, la forêt, l’enfance qui revient. Un lieu pour tous, riches et pauvres, français et étrangers, homos et hétéros. Le paradis retrouvé. Qui sait ?