Elles étaient respectivement députée, ministre et journaliste ; depuis leur exil elles observent, impuissantes, les talibans anéantir deux décennies de progrès et priver les femmes de leur droit à l'éducation, leur interdire de travailler ou même de mener une vie sociale. Elles n'occupent plus de postes influents, mais sont contraintes de se réinventer pour attirer l'attention de la communauté internationale, afin de poursuivre la lutte pour l’établissement d’un Afghanistan plus libre et juste.