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Histoire 1 : Le loup se promène gaiement dans la forêt. Les papillons volent, les oiseaux chantent. Mais bientôt, une averse pointe le bout de son nez. Le loup doit s'abriter ! Histoire 2 : Le loup se réveille. Mais quel est ce drôle de bruit ? C'est son ventre qui grogne. Il a faim, une faim de loup bien sûr. Le loup renifle, gratte, cherche, et soudain, il découvre un petit lapin caché dans la forêt. La course-poursuite peut commencer !

C. Baratoux revisite le célèbre conte en transformant le personnage en vrai héros de théâtre qui fait l'expérience du rite de passage entre l'enfance et l'âge adulte.

A l'arrivée de sa belle-mère et de la fille de celle-ci, la jeune fille est chassée de la maison. Dans la forêt, elle rencontre le prince. Un surprenant carrefour où Cendrillon croise Peau d'Ane.

Pouce-Pouce, minuscule enfant abandonné par ses parents trop pauvres, et Petite Peau, princesse qui fuit le roi son père qui veut l'épouser, marchent dans la Forêt défendue. Ils arpentent ensemble le monde inhospitalier.

Marie raconte à son petit frère François des histoires pour l'endormir lorsque sa mère part le soir travailler au café. C'est un moment propice à l'explosion des peurs et des fantasmes. Une visite à la fête foraine ne fait qu'accroître l'imagination des deux enfants.

C'est l'émoi à Moulinsart. La Castafiore, sa camériste, Igor Wagner, son pianiste et les Dupondt sont prisonniers du Général Tapioca au San Theodoros en Amérique du Sud.

Le texte, une variation sur le thème de l'histoire du Petit Chaperon rouge est présenté dans son intégralité accompagné d'un appareil pédagogique adapté aux élèves de 6e. Comporte une interview de l'auteur.

Pièce adaptée d'Alice au pays des merveilles de Lewis Carroll.

Traversé de moments d'intense magie en même temps que de crises et de doutes, le cinéma français mériterait qu'on lui consacre un livre, après plus de cent ans d'existence. une histoire du cinéma français répond à ce vœu : rendre hommage en un volume à ce développement national d'un art qu'on dit moribond, mais qui, périodiquement, renaît de ses cendres. De l'Arrivée d'un train en gare de La Ciotat aux très contemporains Vénus Beauté ou La Vie rêvée des anges, en passant par la Grande Illusion, Madame de, les 400 Coups et A nos amours, sans oublier Napoléon, Drôle de drame ou la Grande Vadrouille, cet ouvrage offre un voyage à travers un paysage familier en même temps qu'il permet la redécouverte d'aspects moins connus, de films rares. Tout le cinéma français y est passé au crible : dans son expansion, des origines à la fin des années 1990 ; dans ses développements, populaires ou cinéphiliques, mais aussi dans le domaine de la francophonie (Suisse, Belgique, Canada) ; sans négliger aucun genre (comédie, mélodrame, films d'animation...), aucune école, aucune dimension (longs et courts métrages, économie du cinéma, conservation des films). On y trouvera non seulement les points de repère historiques qui marquent l'évolution du cinéma français, mais aussi une évocation des personnalités qui sont à la base de ce cinéma - réalisateurs, producteurs, techniciens... - et des principaux films qui jalonnent son histoire. Rédigée par des spécialistes et illustrée par 150 documents, Une histoire du cinéma français mêle séquences chronologiques, développements thématiques, dictionnaire et statistiques, offrant ainsi une véritable somme de tous les aspects du cinéma français.

Pièce pour 8 acteurs et un pantin d'après le conte de Collodi. Un homme pauvre fabrique le pantin de bois Pinocchio, mais ce dernier s'enfuit. Son amour pour l'argent facile et l'oisiveté lui jouent des tours, son nez s'allonge à chacun de ses mensonges, et le pantin finit dans le ventre d'une baleine.

De l'incontournable Dernier Tango à Paris qui a vu naître et mourir Maria Schneider, en passant par les règlements de compte (Delon/Melville, Depardieu/Beinex…) ou les rivalités (d'Adjani/Huppert à Signoret/Vera Clouzot), ce livre explore les méandres de la création cinématographique. En cinquante histoires de tournage, Jérôme d'Estais raconte les luttes de pouvoir, l'évolution des mœurs et les rapports entre les créateurs et leurs créatures dont la mise à nu a souvent laissé des séquelles. A travers cette galerie de portraits, il propose une autre histoire du cinéma.

Introduction à l'art du cinéaste, son univers et ses influences

A partir de quatre ans. Huit histoires filmées pour les enfants et lues par des conteurs, pour découvrir et redécouvrir les aventures sensibles, drôles et rocambolesques des petits héros de vos enfants.

Un livre qui cause de Gabin, de Ventura, de Blier, bref, qui cause acteurs, mais surtout vie quotidienne : copains, déconne, becquetance, bonnes adresses et vin de soif. Un livre qui nous fait partager l'intimité de cette petite bande - ajoutons-y Audiard et Carmet, qui avait " l'œil toujours ouvert sur la connerie humaine " - et où fusaient sans cesse les répliques assassines. Au gré des rencontres, on y côtoie Jean-Paul Belmondo, Alain Delon, Gérard Depardieu, Maurice Biraud, André Pousse, Albert Simonin, Robert Dalban et tant d'autres. Philippe Durant y évoque aussi, au passage, les tournages mouvementés de films aujourd'hui mythiques, comme Le cave se rebiffe, Mélodie en sous-sol, Cent mille dollars au soleil... En racontant ces formidables histoires d'amitié, c'est toute une époque que l'auteur nous restitue, et un art de vivre, celui des " tontons flingueurs " du cinéma français.

Un panorama du cinéma en France, depuis ses débuts avec les frères Lumière, pour découvrir les acteurs, les réalisateurs, les producteurs et les théoriciens qui ont marqué son histoire, mais aussi ses courants ou ses grands films.

Un titre léger et lumineux qui annonce une histoire d'amour drôle ou grinçante, tendre ou grave, fascinante et inoubliable, composée par un écrivain de vingt-six ans. C'est un conte de l'époque du jazz et de la science-fiction, à la fois comique et poignant, heureux et tragique, féerique et déchirant. Dans cette ouvre d'une modernité insolente, livre culte depuis plus de cinquante ans, Duke Ellington croise le dessin animé, Sartre devient une marionnette burlesque, la mort prend la forme d'un nénuphar, le cauchemar va jusqu'au bout du désespoir.Mais seules deux choses demeurent éternelles et triomphantes : le bonheur ineffable de l'amour absolu et la musique des Noirs américains.