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Publié en France en 1802, cet essai apologétique, écrit durant l'exil de l'écrivain en Angleterre entre 1795 et 1799, entreprend de défendre la sagesse et la beauté de la religion chrétienne, affectée par la philosophie des Lumières, puis par la tourmente révolutionnaire. ©Electre 2022

Histoire de trois siècles de lutte contre les premiers Chrétiens dans l'Empire romain, de l'incendie de Rome en 64 au règne de l'empereur Julien en 362, soulignant la remise en cause des fondements de l'Empire par le christianisme et les différentes formes de persécutions contre les Chrétiens.

1984 - "Je suis à Paris, je voudrais vous voir". L'homme parlait en allemand. Je reconnus aussitôt sa voix (...) C'était lui, Léo, le médecin allemand de la Gestapo qui m'avait retenue enfermée plusieurs mois. Léo, mon bourreau à ma porte. J'eus l'impression que la maison s'écroulait sous ma tête".

Une collection qui privilégie la compréhension d'un sujet à travers l'image. Chaque titre comporte un essai historique, une partie centrale uniquement consacrée aux illustrations essentielles et une dernière partie axée sur les différentes facettes de la religion.

Cinq enfants racontent leur foi : le christianisme, le judaïsme, l'islam, l'hindouisme ou le bouddhisme. Avec leurs mots, ils expliquent l'histoire et les fondements, les pratiques et les fêtes de leur religion et ce qu'elle leur apporte au quotidien. Un dialogue commence au cours duquel les similitudes entre les différentes croyances sont révélées.

Isabelle Lévy retrace les origines des rites et des pratiques des trois grandes religions monothéistes. Elle analyse ensuite les convergences et divergences de chacune sur les thèmes de l'hygiène et de la pureté du corps, les interdits alimentaires, la vie à deux, l'enfance et l'adolescence, la maladie et la mort

Odon Vallet, docteur en droit et en sciences des religions qui, dans cet ouvrage fondamental, nous aide à mieux comprendre l'évolution des courants spirituels d'hier et d'aujourd'hui.

Comment se relever d'une catastrophe, qu'elle soit individuelle ou collective? Comment traverser les crises ou les épreuves? Aujourd'hui, nous voudrions guérir de tout et par nous-mêmes, mais cette obsession de la thérapie ne suffit pas toujours à étancher notre soif de sens. Dès lors resurgit la question: comment sauver nos vies? Dans un superbe essai où les interrogations nées d'une expérience intime rejoignent les questions politiques et spirituelles, Nathalie Sarthou-lajus redonne sens à la possibilité d'une espérance réelle.Une espérance qui nait de la dimension relationnelle de tout salut- on ne se sauve pas soi-même, on est sauvé par l'autre, tel est le sens de la résurrection dans l'évangile. Une espérance qui n'efface pas les blessures ni les pertes, mais qui traverse, altière, le tragique de l'existence et renoue avec le désir radical de vivre.

En dressant un réquisitoire contre la religion sous toutes ses formes, C. Hitchens fait l'apologie de l'athéisme. S'appuyant sur son expérience personnelle, ses propres réflexions, sa connaissance de la Bible, des textes sacrés et des classiques, il montre notamment comment la religion se fait la complice de l'ignorance et de la culpabilité et évoque Montaigne, G. Orwell, ou encore Voltaire. ©Electre 2015

La religion chrétienne est aujourd'hui la plus menacée au monde. 150 à 200 millions de chrétiens (catholiques, protestants, orthodoxes) sont discriminés ou persécutés à travers la planète. Au Proche-Orient, en Afrique subsaharienne, en Asie, les chrétiens sont la cible de groupes armés et d'organisations terroristes. Ils subissent aussi des pressions sociales et des répressions d'appareils d'Etat. Surveillance, intimidations, assassinats, «épuration religieuse» comme en Irak sur le territoire de l'Etat islamique : la condition des chrétiens provoque une inquiétude de plus en plus forte dans la communauté internationale. Plus qu'une question de liberté religieuse, cette hostilité grandissante compromet l'existence même d'une civilisation et de ses valeurs. Le sort des chrétiens interpelle non seulement les croyants, mais aussi les non-croyants, les intellectuels, les gouvernements et les organisations non-gouvernementales.