Quans les animaux s'invitent dans la ville Nostalgie de la nature ou sauvagerie apprivoisée ? L'animal se révèle comme l'un des motifs les plus riches du street art. Transformant les villes en vastes champs d'expérience, cultivant le plaisir de l'imprévu et de la rencontre magique, de l'incongru et du détonant, les artistes urbains se font anatomistes et portraitistes de ce zoo à ciel ouvert. Monstres et chimères nourris à l'imaginaire collectif rejoignent les cohortes d'un bestiaire en constante expansion et réinvention. À travers 7 chapitres thématiques et 20 portraits, ce livre témoigne de l'inventivité de ces artistes qui, portés par le simple goût du jeu ou les interrogations écologistes, investissent les recoins secrets de nos rues, détournent les lieux, surgissent à chaque pan de mur – même les plus monumentaux –, explorent friches urbaines et lieux désertés pour leur offrir une poésie inédite, ou vont jusqu'à faire resurgir l'animal en lisière de la nature. Collages, peinture, bricolage minuscule, installation en trois dimensions : leurs techniques sont multiples et reflètent la diversité foisonnante du street art aujourd'hui.
A.-L. Barye (1796-1875) étudia la sculpture puis la peinture auprès d'Antoine Gros, montra un vif intérêt pour le monde animalier, et travailla sur ce sujet avec Eugène Delacroix au Jardin des plantes de Paris. A travers cette collection, les enfants découvrent comment un artiste trouve le bonheur de sculpter.
Dans ce très bel album, les illustrations d’animaux, accompagnées de courts textes explicatifs, servent de prétexte à l’initiation aux multiples techniques de gravure. La réédition dans un format réduit de cet album qui a reçu une mention d’honneur à la foire de Bologne en 2007.
Depuis la préhistoire, les animaux sont source d'inspiration et de créativité pour les hommes. Sauvages ou domestiques, réels ou imaginaires, tous sont l'objet d'observations et de fantasmes matérialisés dans des peintures, des sculptures, des gravures, des miniatures mais aussi des bijoux, des armes, des jouets… L'étude de ces oeuvres permet de répondre à certaines grandes questions culturelles : pourquoi a-t-on peur du loup ? Pourquoi les chats noirs portent-ils malheur ? Pourquoi le serpent est-il à la fois le symbole du mal et l'emblème des médecins ? Ces croyances sont-elles les mêmes dans toutes les cultures ?
Utilisant une vingtaine de techniques de gravure différentes, l'auteur propose un bestiaire très personnel dans lequel des animaux réels (réalisés avec une plusieurs techniques) côtoient des espèces fantaisistes.
Dans ce bestaire, les animaux entrent les uns après les autres selon les représentations artistiques qui en ont été faites dans le monde entier et à toutes les époques. Trois chapitres : pelages et fourrures ; ailes et plumes ; peaux, écailles et carapaces, classent les oeuvres présentées. A chaque fois l'animal est rêprésenté par deux oeuvres d'art. Prix Sorcières 2003 (catégorie documentaires).