Lorsque le général Grant demande de l'aide au général Alexander, ce dernier décide de lui envoyer Blutch et Chesterfield. Le 22ème régiment de cavalerie doit en effet se recomposer suite à un assaut du capitaine Stark et le général n'aime pas les soldats inactifs. Lorsqu'ils arrivent sur place, les deux soldats de l'Union découvrent un siège qui s'enlise et deux unités pour prendre la ville de Petersburg idéalement défendue par les forces confédérées. Deux unités qui se détestent, qui plus est, l'une étant composée de Blancs et ayant pour chef un alcoolique, et l'autre étant composée de Noirs qui n'apprécient guère d'avoir un commandant blanc. Une situation pour le moins désespérée. C'est alors qu'un jeune lieutenant-colonel, Pleasants, propose une idée saugrenue : creuser un tunnel dans une vieille mine qui permettra de faire sauter les lignes ennemies par en dessous. Blutch et Chesterfield se retrouvent alors avec pelle et pioche en main et commence leur long travail d'excavation...
L'inexplicable promotion de Blutch cache un plan diabolique. Mais le courage naïf de ce même sergent Blutch le mettra en péril. Certains héros sont parfois plus dangereux que l'ennemi...
La découverte d'un filon d'or attire chercheurs et bandits qui, pour atteindre le gisement, doivent traverser les territoires indiens de Loup-Gris. Le colonel Appeltown ne peut compter que sur le caporal Blutch et le sergent Chesterfield : avec l'aide de Plume d'Argent, ils sont chargés de limiter les violences entre Indiens et chercheurs d'or... et d'organiser le mariage de la fille du colonel !
Le caporal Blutch et le sergent Chesterfield sont les seuls rescapés du vingt-deuxième de cavalerie. Alors qu'ils sont envoyés en éclaireurs à Lagrange, une petite ville fortifiée et calme, ils découvrent que celle-ci est défendue par les Nancy Hart, un groupe de femmes de Confédérés.
Pour enrayer l'épidémie de scorbut qui sévit dans les troupes unionistes, Chesterfield et Blutch sont chargés de surveiller l'approvisionnement en produits frais. Mais entre le sabotage des lignes ferroviaires et le refus des paysans de céder leurs fruits et légumes, la tâche s'annonce ardue.