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Les nombreux bénéfices de la sophrologie pendant la grossesse - Pour la future mère : un meilleur confort, une respiration plus fluide, un stress réduit, une bonne préparation à la naissance. La lectrice pourra même utiliser certains exercices pendant l'accouchement. Particulièrement utile pour celles qui souhaitent un accouchement dans des conditions physiologiques apaisées.- Pour les deux parents : ils se préparent ensemble à la parentalité par des exercices de visualisation et de lâcher-prise.- Pour la relation avec le bébé et son développement : la sophrologie aide la mère et l'enfant à se connecter (échanges qui ont lieu in utero) et contribue au bon développement du bébé.- La sophrologie aide également les parents à vivre sereinement les suites de l'accouchement. La nouvelle famille grandit ainsi dans une atmosphère zen, chacun ayant conscience de la place qu'il occupe au sein du foyer et assumant ses nouvelles responsabilités.

ON N'EST PAS VRAIMENT FEMME AVANT D'ÊTRE MÈRE  T'AS QUE 30 ANS,  TU VAS CHANGER D'AVIS  T'AS DÉJÀ 30 ANS, FAUT TE DÉPÊCHER !  Y A UN  PÈRE ? A QUAND LE DEUXIÈME ?  T'ES SÛRE, UN TROISIÈME ?  AH BON,  TU ALLAITES ? AH BON, TU N'ALLAITES PAS ?  ÊTRE MÈRE À 20 ANS,  C'EST IRRESPONSABLE  ÊTRE MÈRE À 40 ANS, C'EST DANGEREUXTU VEUX PAS D'ENFANT : T'ES FÉMINISTE ? T'ES LESBIENNE ?  TU VEUX PAS D'ENFANT ?  JE PEUX TOUCHER  TON VENTRE ?  Au départ, il y avait cette question : pourquoi le fait que je ne veuille pas d'enfant pose-t-il un problème à tout le monde, sauf à moi ? J'ai trouvé la réponse : parce que je suis une femme en âge d'en avoir qui coche 100% des cases du bingo procréatif. Même 50 ans après la légalisation de la pilule et de l'avortement en France, être une femme, c'est être une mère : être nullipare, volontaire ou plus souvent, involontaire, c'est donc être reléguée en D2 de féminité.  Pourtant il ne suffit pas d'être mère pour qu'on vous fiche une paix très relative - oh non… Encore faut-il être une «  bonne  » mère, selon des normes procréatives et éducatives de plus en plus nombreuses, rigides et contradictoires. Résultat : la plupart des mères, celles qu'on ne voit pas à la télé ni sur Instagram, sont de plus en plus épuisées tout en se sentant de moins en moins légitimes (capables?).Tant que l'on considèrera que la maternité n'est pas une option mais une preuve de la féminité, tant que la parentalité restera d'abord une affaire de femmes, donc que c'est à elles de concilier leurs douze journées, les inégalités persisteront, non seulement entre les femmes et les hommes, mais aussi et avant tout entre les femmes. A nous de décider qu'elles ne sont pas une fatalité.Fiona Schmidt est journaliste. Elle a écrit  un livre  de cuisine militant,  Les Recettes d'une connasse  (Grand Prix Eugénie Brazier 2017), et un essai sur l'évolution des rapports  de séduction entre les  femmes  et les  hommes,  L'amour après #MeToo, publiés chez Hachette Pratique. 

La mère de Medhi attend un bébé et l'enfant se pose de nombreuses questions. Il se demande si ce sera une fille ou un garçon, s'il va lui ressembler, si ses parents l'aimeront toujours autant. Son amie Aimée l'aide à appréhender ce changement.