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Véritable forteresse au cœur du Paris historique, l'hôtel des Monnaies reste un monde inconnu, une belle endormie. Qui sait que ce chef-d'œuvre architectural du XVIIIe siècle cache la dernière usine en activité de la capitale ? Qui sait que son histoire est aussi celle de la vie économique française, fascinant miroir des soubresauts de notre pays pendant près de 2 000 ans ? Qui sait que Benjamin Franklin, Condorcet, Nicolas II ou Nikita Khrouchtchev en firent les honneurs ? Qui sait que Dalí, César, Philippe Starck ou Christian Lacroix participèrent à la création de médailles ou d'objets d'art ? À l'heure où l'important projet MétaLmorphoses va ouvrir la Monnaie de Paris au grand public, ce livre donne quelques clés, beaucoup d'images et presque autant d'anecdotes pour comprendre et apprécier l'un des plus inestimables trésors du patrimoine parisien.

Les grandes étapes de la construction de la capitale française, la modernisation, l'accroissement de la population, de la période gallo-romaine aux grandes avenues haussmanniennes, en passant par le Paris médiéval et la période classique.

L'histoire de Paris à travers 75 photographies. Aux clichés historiques des barricades de la Commune, de l'affaire Dreyfus, de la crue de 1910, des déportations de la Seconde Guerre mondiale ou encore de mai 68, s'ajoutent les commémorations d'expositions universelles ou d'événements scientifiques, sportifs et artistiques. Electre 2015

Le musée Gustave Moreau est un cas exemplaire de maison d artiste transformée en musée par le peintre lui-même. Ce lieu, vanté par Marcel Proust dès avant son ouverture, a conservé son aménagement et son accrochage d origine. À la fin de sa vie, Gustave Moreau (1826-1898) fait construire son musée tout en conservant l appartement de ses parents au premier étage. Dans les grands ateliers des deuxième et troisième étages, il expose ses plus grands formats, tandis que le premier étage demeure l étage d habitation aujourd hui ouvert au public. Son légataire universel, Henri Rupp (1837-1918), poursuit l aménagement du musée et préside à celui du rez-de-chaussée. L année 2014 fera date dans l histoire du musée Gustave Moreau, avec la réouverture du rez-de-chaussée dans son état originel et la création de réserves et d un cabinet d art graphique laissant intact ce lieu historique.

En écho au mouvement nappy (natural et happy), 110 Parisiens témoignent de leur parcours et de leur choix de ne plus se faire défriser les cheveux. Ils décrivent les regards de la société sur les Afropéens, l'influence des normes physiques véhiculées par la publicité et ce que représente pour eux le fait d'assumer leurs cheveux au naturel.

Des portraits de sans-abri aux profils divers, accompagnés de leurs témoignages, relatant leur lutte pour préserver leur dignité.

Une petite trentaine d'itinéraires (29 pour être précis) pour apprécier les espaces verts de la capitale, des classiques (Montsouris, "Luco", Monceau, Buttes-Chaumont) aux petits derniers (Martin-Lutter-King ou Passy...). Mais également des cheminements surprenants dans les nouveaux jardins bordant la périphérie de la ville (Serge-Gainsbourg, Claire-Motte) et ailleurs, dans la Cité Universitaire, sur le canal Saint-Martin, dans la "Campagne à Paris" ou sur la promenade Bernard-Lafay. Enfin, tout aussi surprenants, deux itinéraires dans chacun des bois de Boulogne et de Vincennes à la découverte de leurs multiples facettes.

Tout ce qu'il faut savoir avant de se présenter à un oral de concours, épreuve à laquelle n'ont accès que ceux qui ont déjà passé le cap des écrits. Des conseils pour faire face aux membres du jury, répondre aux questions et apprendre à parler de soi en évitant les erreurs. ©Electre 2016

Au cours des derniers jours de mai 1871, le gouvernement d’Adolphe Thiers se résolut à réprimer dans le sang la Commune de Paris. La Semaine sanglante s’accompagna d’un gigantesque incendie. Plus que les morts par milliers, cet embrasement frappa les témoins immédiats. Parmi les destructions à déplorer, notre mémoire embrumée retient celle du château des Tuileries. Ce que l’on retient moins, c’est que, se communiquant aux ailes par les pavillons de Flore et de Marsan, le feu menaça dangereusement le Louvre et ses collections. Les incendiaires s’en prirent également à la Bibliothèque impériale, au coeur même du palais, livrant aux flammes son fonds de cent mille volumes précieux.