Les haïkus sont des petits poèmes de trois vers, qui rendent l'essentiel de la sagesse japonaise en quelques mots. Bons sens, naturel et grande profondeur y affleurent, en toute poésie.
C. Baratoux revisite le célèbre conte en transformant le personnage en vrai héros de théâtre qui fait l'expérience du rite de passage entre l'enfance et l'âge adulte.
A l'arrivée de sa belle-mère et de la fille de celle-ci, la jeune fille est chassée de la maison. Dans la forêt, elle rencontre le prince. Un surprenant carrefour où Cendrillon croise Peau d'Ane.
Pouce-Pouce, minuscule enfant abandonné par ses parents trop pauvres, et Petite Peau, princesse qui fuit le roi son père qui veut l'épouser, marchent dans la Forêt défendue. Ils arpentent ensemble le monde inhospitalier.
Marie raconte à son petit frère François des histoires pour l'endormir lorsque sa mère part le soir travailler au café. C'est un moment propice à l'explosion des peurs et des fantasmes. Une visite à la fête foraine ne fait qu'accroître l'imagination des deux enfants.
Le texte, une variation sur le thème de l'histoire du Petit Chaperon rouge est présenté dans son intégralité accompagné d'un appareil pédagogique adapté aux élèves de 6e. Comporte une interview de l'auteur.
Un calepin moderne et plein de gaieté, fermé par un élastique de couleur, qui rassemble 200 brefs poèmes illustrés. Divisé en 5 parties thématiques : les émotions, les saisons, les 5 sens, les voyages lointains, les animaux.
La poésie haïku est capable par sa clarté et son intensité de traduire le sentiment amoureux. Cette anthologie de 250 poésies évocatrices, choisies chez des poètes de haïku du monde entier, ainsi que des traductions de maîtres japonais estimés, contiennent en leur essence la sincérité de l'amour.
De sa jeunesse à ses dernières années, le romancier japonais Sôseki a composé plus de 2.500 poèmes de forme haïku. En voici un choix de 135, accompagnés de peintures et de calligraphies de l'auteur. Une part plus secrète et aussi plus familière de son oeuvre.
L'histoire véridique de Bashô, auteur japonais de haïkus ou poèmes de trois vers, se passe dans le Japon du XVIIe siècle. Ses amis sont fous de poésie. En se promenant, il observe, écrit, capte l'instant. Son élève Kikaku le suit, l'imite et s'applique. Il ouvre à tous, homme ou femme, jeune ou âgé, des ateliers de poésie.
Art japonais né au Xe siècle, le haïku allie poésie et concision : quelques mots justes et simples pour fixer l'éphémère. Humour, dérision, miracle de l'instant, et cette part de liberté en nous qui chante l'infini, tout convient à cette forme brève. Terreau idéal pour la culture du zen, le haïku suggère plus qu'il n'impose des sonorités et des images saisonnières. S'appuyant sur des textes des maîtres du genre, Henri Brunel nous livre la douce alchimie des haïkus.
Pièce pour 8 acteurs et un pantin d'après le conte de Collodi. Un homme pauvre fabrique le pantin de bois Pinocchio, mais ce dernier s'enfuit. Son amour pour l'argent facile et l'oisiveté lui jouent des tours, son nez s'allonge à chacun de ses mensonges, et le pantin finit dans le ventre d'une baleine.
Au printemps de 1689, le poète Matsuo Basho quitta Edo pour le Nord. C'est de ce "pèlerinage vers des lieux lointains" qu'est né son plus beau livre. Quand, trois siècles plus tard, Kenneth White quitte Tokyo pour Hokkaïdo, il a le voyage de Basho en tête. Ce livre est un hommage au poète japonais. A mesure que progresse le livre, White sort des cadres littéraires qui ont longtemps défini notre culture.
Un poème collectif unique en son genre, mariant les styles, les univers et les techniques d'animation, des plus traditionnelles aux plus folles : dessin au crayon, pastel, fusain, encre... Forme classique de la poésie japonaise, un "renku" est une suite de poèmes qui s'enchaînent, écrits collectivement par plusieurs poètes. Traditionnellement il est constitué de 36 chaînons, 36 haîkus en quelque sorte, et est appelé kasen. La règle veut que chaque chaînon réponde à celui qui précède. Un renku se donne à lire comme une suite, à la fois liée et indépendante.