Alors que nous prenons conscience que nous détruisons la planète, l'auteur continue sa réflexion entamée dans " Le contrat naturel ", sur l'aspect sociologique de la pollution cette fois. Partant du postulat que le sale et le propre déterminent la propriété - ne change-t-on pas les draps tous les jours dans les hôtels ?- il nous invite à une réflexion et peut-être à changer nos comportements