L'importance croissante prise par les technologies numériques dans nos vies inquiète. Les machines capables de faire la conversation aussi bien que des humains et les mondes virtuels immersifs et interactifs (parfois appelés métavers) font notamment craindre d'oublier l'importance du corps et de la mort qui sont à la base de notre humanité.Pourtant, il est possible de construire une société connectée, responsable et créative. C'est le message que Serge Tisseron nous délivre dans cette anthologie de quelques-uns des billets qu'il écrit depuis une vingtaine d'années pour son blog. En les éclairant de ses analyses actuelles à la lumière des dernières recherches, il nous montre un chemin qui n'exclut pas du numérique la reconnaissance et la réciprocité qui sont au cœur de la vie sociale.
Une histoire des Français, de la fin du règne de Louis XIV à la déclaration de la Première Guerre mondiale, à travers des analyses sur la diversité linguistique et culturelle en France avant et après la Révolution, l'exploration du territoire par les cartographes et ethnologues, le découpage administratif du pays, le développement des transports et voies de communication, etc.
Dans le premier texte, H.-D. Thoreau (1817-1862) aborde les notions de résistance passive, de désobéissance civile et de non-violence. Dans le second texte, il prend la défense de J. Brown, condamné à mort aux Etats-Unis pour avoir pris les armes pour la libération des esclaves. Enfin, le dernier texte est un plaidoyer de V. Hugo pour J. Brown.
Trop souvent oubliés de l'histoire coloniale, les zoos humains étaient la vitrine de l'exotisme en Occident. Ces exhibitions dites anthropozoologiques, où des individus mêlés à des bêtes sauvages étaient mis en scène derrière des grilles et des enclos, constituent un moment clé dans le glissement progressif d'un racisme scientifique à un racisme populaire
La société française du XIXe siècle préférait voir les femmes à la maison. Cela n'a pas empêché Louise Fusil, Léonie d'Aunet, Charlotte-Adélaïde Dard ou encore Fanny Loviot, Isabelle Massieu et de nombreuses épouses de scientifiques de parcourir le monde, pour le découvrir ou s'installer dans des contrées lointaines. L'auteure s'intéresse à quatre-vingts d'entre elles.