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Pièce adaptée d'Alice au pays des merveilles de Lewis Carroll.

Marie raconte à son petit frère François des histoires pour l'endormir lorsque sa mère part le soir travailler au café. C'est un moment propice à l'explosion des peurs et des fantasmes. Une visite à la fête foraine ne fait qu'accroître l'imagination des deux enfants.

Pouce-Pouce, minuscule enfant abandonné par ses parents trop pauvres, et Petite Peau, princesse qui fuit le roi son père qui veut l'épouser, marchent dans la Forêt défendue. Ils arpentent ensemble le monde inhospitalier.

A l'arrivée de sa belle-mère et de la fille de celle-ci, la jeune fille est chassée de la maison. Dans la forêt, elle rencontre le prince. Un surprenant carrefour où Cendrillon croise Peau d'Ane.

Le texte, une variation sur le thème de l'histoire du Petit Chaperon rouge est présenté dans son intégralité accompagné d'un appareil pédagogique adapté aux élèves de 6e. Comporte une interview de l'auteur.

C. Baratoux revisite le célèbre conte en transformant le personnage en vrai héros de théâtre qui fait l'expérience du rite de passage entre l'enfance et l'âge adulte.

Jeff Healey, guitariste, interprète et auteur (Toronto, 25 mars 1966 - Toronto, 2 mars 2008). Aveugle dès l'âge d'un an, Healey commence à jouer de la guitare à l'âge de deux ans et se crée par la suite un style original. En compagnie de Joe Rockman (bassiste, Toronto, 1er janv. 1957) et de Tom Stephen (batteur, Saint John, 2 févr. 1955), il fonde en 1985 le Jeff Healey Band, qui connaît son heure de gloire lors de la parution de l'album See The Light (1988) qui, depuis, s'est vendu à plus de 400 000 exemplaires au Canada et à plus de deux millions d'exemplaires dans le monde entier.

Enregistré dans la force du troisième âge (71 ans), You are not alone est un disque qui flotte magnifiquement entre les époques et saute avec une énergie démente et une aisance insolente du blues au rock, des hymnes gospel aux chansons de Randy Newman, Jeff Tweedy ou John Fogerty. Le chant de Mavis Staples, son grain rugueux, ses replis soyeux et ses passages en force y sont bien sûr pour beaucoup. Mais la beauté de ce disque (très) électrique tient dans la simplicité de ses arrangements, le charme des enluminures, le tranchant des musiciens, la concentration de Wilco qui se cale avec un plaisir évident dans l'allure de la dame. On croirait retrouver l'âge d'or des années 1960, où la jeune scène rock de Memphis se mettait au service des doyens du blues.