Portail des médiathèques du réseau Paris-Saclay

Une sélection de vingt tableaux présentant des princesses célèbres, réelles ou imaginaires, de toutes les époques : Cléopâtre, Marie-Antoinette, princesse d'Autriche, Psyché, princesse de Grèce, Angélique, princesse de Chine, Esther, princesse de Perse, Sissi, Diana... Sur une double page, la narratrice raconte l'histoire de la princesse, une autre double page présente le tableau.

Un guide consacré à la couleur bleu dans tous ses états.

Un choix de textes extraits du livre des chrétiens et illustrés.

Bien des auteurs ont rapproché les sites de la vallée de Chevreuse de ceux de Fontainebleau mais s'ils accordent à ceux-ci une majesté incomparable, ils reconnaissent à ceux-là les charmes d'une nature moins grandiose, moins étendue, plus proche de la mesure humaine et plus variée. En effet, si dans les deux sites la forêt, les rochers, la plaine, les villages, offrent les mêmes thèmes picturaux, la vallée de Chevreuse est riche de ses lacs, de ses cascades que les paysagistes ne se sont pas lassés de peindre pendant plus de deux cents ans. La région de Chevreuse et des Vaux-de-Cernay est sans doute la seule région de France qui ait inspiré des peintres représentant pratiquement toutes les tendances de l'art du paysage ; en effet, un très grand nombre de peintres (plus de six cents) se sont succédé dans cette partie d'Ile-de-France ; la variété de leurs œuvres témoigne des innombrables manières de résoudre les problèmes que posent les rapports de l'espace et de la lumière dans la représentation de la nature. La nouveauté du présent travail est d'étudier ces différents aspects de l'art du paysage en les illustrant par des œuvres exécutées dans cette région.

Un poème en douze strophes déclinant les jardins de Gerberoy, peints par Le Sidaner au début du XXe siècle. Il entraîne le lecteur dans une promenade à travers douze bosquets photographiés et peints. Le Sidaner, dès l'acquisition de sa maison, s'attacha à conserver et embellir le site de Gerberoy. Il recomposait le paysage avant de le fixer sur ses toiles.

De l'Europe à l'Amérique, en passant par l'Afrique et l'Asie, un voyage à travers l'histoire de l'art à partir de la représentation des animaux, parfois fantastiques, en peinture, en sculpture et par d'autres moyens d'expression. Les mythes et les symboles qui leur sont associés sont expliqués.

A travers une sélection d'une centaine de représentations (oeuvres de peintres, enlumineurs, sculpteurs et imagiers divers), l'historien, titulaire de la chaire d'histoire des mentalités religieuses dans l'Occident moderne au Collège de France, commente, décode et compare l'histoire de l'image du paradis.

Un guide consacré à la couleur jaune dans tous ses états à travers la peinture.

Un guide consacré à la couleur rouge dans tous ses états à travers la peinture.

Si les dieux du monde grec nous semblent si familiers, c'est que l'art européen a trouvé dans la littérature antique une source inépuisable d'inspiration. Mais en confondant les divinités grecques et romaines, pourtant à l'origine bien distinctes, et en ne retenant que les plus anecdotiques de leurs histoires, l'Occident a aussi transformé la nature des dieux grecs. Les collections d'antiquités grecques du musée du Louvre permettent de les voir tels qu'ils apparaissaient aux hommes de l'Antiquité. L'art grec révèle en effet des divinités surprenantes, complexes, très éloignées des aimables allégories qu'on croit connaître.

Denis Bruna présente ici une enquête inédite sur le " piercing " au cœur d'images peintes et de textes du XIVe, XVe et XVIe siècles. Sur les visages et sur les corps, des anneaux, des pendeloques et des chaînes fixés à travers la chair évoquent une étonnante ancienneté occidentale du piercing contemporain... Longtemps passés sous silence, ces ornements sont réservés à des individus singuliers de l'iconographie chrétienne. Des personnes, qui par leurs actes, leur croyance ou leur origine, étaient désignées comme les ennemis de la foi chrétienne : bourreaux, juges, Noirs, juifs, Sarrasins... Semblant apparaître quelques siècles plus tôt, le malaise contemporain à l'égard du piercing suit les flots lents des mentalités. Si aujourd'hui l'idée de l'exclusion persiste, le code social est inversé. Imposé autrefois comme une marque d'infamie, le piercing s'impose aujourd'hui comme un acte volontaire et revendicatif. La marque est devenue une démarque.

Il existe de nombreux livres sur les momies égyptiennes et il s'en publie régulièrement de nouveaux qui traitent de la momie d'un point de vue archéologique et scientifique. Tout autre est ce livre qui a pour objet la fascination du monde occidental pour les momies, depuis le Moyen Age, alors qu'elle était recherchée comme médecine, jusqu'à son arrivée sur le théâtre de l'horreur. Loin de l'archéologie des chantiers de fouille, c'est une archéologie de l'imaginaire que ce livre propose et son chantier est cette véritable pyramide d'idées, de théories, de rêves, de fantasmes et d'images qui se sont amassés autour de ce corps desséché. En suivant pierre à pierre la construction de cet édifice, aussi bien dans le domaine du savoir et des arts que dans ses manifestations les plus triviales, il analyse les mécanismes de la formation des images et, pour finir, apporte une contribution à l'étude de la fabrication des mythes modernes. Si les livres sur les momies aspirent, à travers elles, à jeter quelques lumières sur la civilisation des anciens Egyptiens, ce livre, à travers la momie des anciens Egyptiens, aspire à jeter quelques lumières sur notre propre civilisation.