Genre musical aussi sincère que théâtral, le hard rock est né à l'aube des années soixante-dix puis a dominé les années quatre-vingt en devenant le plus populaire de la planète, le plus prolifique en albums, groupes et sous-genres, influençant le plus les autres styles. Un genre de la grandiloquence qui, dans l'airain, a enfanté des géants aux ventes colossales, tout en jouant avec la censure dont il était l'ennemi intime et en organisant sa marginalité par un communautarisme quasi-religieux dans lequel il a puisé sa force, son identité et sa pérennité uniques dans l'histoire, jusqu'à son retour en grâce sous la bannière metal. Au travers d'une anthologie des 250 albums majeurs, des plus belles ballades, des concerts mythiques à Paris et d'une étude musicologique et sociologique du hard rock, c'est cette moderne épopée musicale et humaine que relate cet ouvrage, « sorte de grimoire que toutes les générations ressortiront de temps en temps », selon Francis Zégut, institution radiophonique, qui en a rédigé la préface.
Ce "super groupe" est composé de Maynard James Keenan (Tool, Puscifer), Billy Howerdel (Ashes Divide), James Iha (Tinted Windows, Smashing Pumpkins), Jeff Friedl (Puscifer, The Beta Machine) et Matt McJunkins (Eagles of Death Metal, The Beta Machine). Il dévoile son quatrième album coproduit par Dave Sardy (Autolux, Slayer), le premier depuis la sortie de eMOTIVe en 2004.
Une histoire du hard rock à travers ses acteurs incontournables : Led Zeppelin, Iron Maiden, Aerosmith, Metallica... Pour chaque groupe, il est retracé une journée mémorable, ou proposé une interview et des anecdotes. Un chapitre est consacré aux guitar-heroes.
Saxon affiche ses "inspirations". Les légendes du heavy metal britannique livreront un ensemble complet de reprises avec leur dernier album Inspirations. L'album rassemble quelques-uns des classiques du rock qui ont influencé Biff Byford & le groupe. De la version croustillante de "Paint it black" des Rolling Stones à la folle version de "Stone free" de Jimi Hendrix, en passant par les mélodies endiablées de "Paperback writer" des Beatles, les Saxons montrent leur amour par une série d'hommages fidèles et crus. Enregistré de manière old school à Brockfield Hall près de York, au Royaume-Uni, avec des amplis Marshall et une vraie batterie, Saxon aborde des titres comme "Bomber" de Motörhead, "Problem child" d'AC/DC, "Evil woman" de Black Sabbath et "Speed king" de Deep Purple avec des interprétations rafraîchissantes, chaudes, non filtrées et au son "vintage". Byford relève de nouveaux défis vocaux, qu'il réussi avec brio dans "The rocker" de Thin Lizzy.
Après avoir créé la surprise il y a tout juste un an avec l'album "Pressure and Time", les Rival Sons sont de retour avec Head Down un nouvel opus étonnant par son originalité tout en étant toujours imbibé de la sueur d'un Led Zeppelin, Cream ou The Who. Les Californiens savent de quoi ils parlent, tout est impeccable, riffs directs et précis, effets de son aux bons moments, wah-wah ! Juste ce qu'il faut, bref du grand art. Head Down nous permet d'effectuer un voyage dans le temps grâce à un rock furieusement groovy à tendance psychédélique et toujours actuel pour l'amateur de qualité. Une vraie pépite d'or qui se déguste avec délectation du début à la fin. Les californiens ont véritablement franchi un cap et partent maintenant à la conquête du monde.