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Le long des dunes éblouissantes du parc national des White Sands, des traces de vie préhistoriques bouleversent notre compréhension du peuplement de l'Amérique.
Des empreintes de mammouth de Colomb - de soixante centimètres de large, espacées d'un mètre cinquante -, celles de paresseux terrestres, des géants de deux fois la taille d'un grizzli, et à leurs côtés, préservée depuis plusieurs milliers d'années par le sable durci, la forme reconnaissable d'orteils humains... Ancienne région de lacs abritant autrefois une faune foisonnante de mastodontes, les White Sands, dans l'État du Nouveau-Mexique, renferment également dans leurs sédiments des milliers d'empreintes de pas d'Homo sapiens préhistoriques. Les premières datations au carbone jettent le doute sur notre compréhension actuelle du peuplement du continent, dont on situait les débuts, jusqu'ici, à environ 10000 ans avant notre ère. Comment se fait-il, alors, que celles des White Sands remontent à 23000 ans ?
Enquête passionnée
En plein âge glaciaire, les premiers habitants de cette oasis auraient-ils pu survivre aux assauts climatiques les plus violents ? C'est ce que semblent penser les amérindiens, descendants directs des hommes préhistoriques des White Sands, aujourd'hui associés aux recherches, mais dont le point de vue diffère de la version généralement admise par la communauté scientifique de la fin du XXe siècle. Une enquête à l'excitation contagieuse, menée par des chercheurs passionnés alliés aux héritiers des peuples préhistoriques, sur les traces d'un passé figé dans le sable qui reste encore à mettre au jour...
Comment le lobby pétrolier, et Exxon Mobil en particulier, ont œuvré depuis cinq décennies à entraver toute mesure visant à réduire le réchauffement climatique au nom de leurs intérêts. Avec l’éclairage d’experts et d’acteurs de premier plan, une édifiante enquête.
Manipulations
Documentée et nourrie de l’éclairage de chercheurs et d’acteurs de premier plan, dont l’ex-vice-président Al Gore, mais aussi de scientifiques ayant travaillé directement pour le lobby pétrolier, cette enquête édifiante en deux épisodes retrace cinq décennies de temps perdu pour réduire les émissions de gaz à effet de serre, jusqu’au retrait, sous Donald Trump, des États-Unis de l’accord de Paris sur le climat. Du déni initial aux campagnes savamment orchestrées de désinformation, elle montre comment l’industrie pétrolière – Exxon Mobil en particulier – s’est ingéniée, avec l’appui de ses alliés politiques, à dissimuler l’origine humaine du réchauffement climatique, à manipuler l’opinion et à retarder le déploiement de toute mesure visant à le limiter. Ce documentaire pointe ainsi la responsabilité dans cette inaction, et en toute connaissance de cause, d’un lobby tout-puissant soucieux de sauvegarder ses intérêts, au détriment de la planète et des générations futures.
Épisodes
Le déni
Le doute
Focus sur le parcours Robert Hendy-Freegard. Cet ancien barman s'est fait passer pendant près de dix ans pour un agent des services secrets britanniques. Il parvenait à convaincre ses victimes qu'elles étaient les proies de terroristes de l'IRA. Contre un apport financier important, il les protégeait en tant que membre du MI5.
Regard magnétique et classe singulière, Charlotte Rampling traverse le cinéma depuis près de soixante ans. Au fil d'un retour, commenté par elle-même, sur les films qui ont jalonné sa vie, un bel autoportrait en clair-obscur de la comédienne.
"Chez les Rampling, le coeur est un coffre." Depuis près de soixante ans, Charlotte Rampling promène sa longue et classieuse silhouette dans le meilleur du cinéma mondial. Fille d'un militaire tourmenté et d'une peintre pleine de fantaisie, cette enfant des Swinging Sixties, chez qui l'audace le dispute à la timidité, est repérée dans la rue à 19 ans. Regard magnétique et présence empreinte de mystère, la jeune Britannique crève aussitôt l'écran. Mais la déflagration causée par le suicide de sa soeur aînée la plonge dans de durables ténèbres. "Tout s'en est allé avec Sarah. Ma vie était cassée en mille morceaux." Seuls les films l'aident alors à exorciser ses démons : "Avec le cinéma, je pouvais plonger dans quelque chose de vrai, une réponse visuelle, dans cette matière noire." Après Les damnés (1969) de Luchino Visconti, la comédienne témoigne en 1973, avec Portier de nuit de Liliana Cavani, de sa capacité à assumer des rôles à risque et de son goût pour la transgression, se réjouissant encore de briser le dernier tabou en 1985 avec le poétique Max mon amour de Nagisa Oshima.
Clair-obscur
"J'ai une rébellion très forte en moi qui m'a permis de survivre. C'est ça mon moteur. Dès l'enfance, ça brûlait en moi." Au fil d'un retour, commenté par elle-même, sur les films qui ont jalonné sa vie, de Georgy Girl (1966) de Silvio Narizzano à Sous le sable (2000) de François Ozon en passant par sa carrière aux États-Unis, de Hollywood à Woody Allen, la très libre Charlotte Rampling se livre en profondeur autant qu'avec pudeur. Tissé à partir de ses expériences de tournage, l'émouvant autoportrait en clair-obscur d'une grande dame du cinéma.
Quinze ans après avoir été séparée de son mari, Nana a refait sa vie auprès d’un homme riche qui la gâte autant qu’il la trompe. C’est pourtant sa rivale qui deviendra pour Nana l’alliée à laquelle elle confie ses secrets, passés et présents, au point d‘envisager un nouvel avenir…
Le film est présenté à la Berlinale 2022 et Laura Basuki y remporte l'Ours d'Argent pour son rôle.
Fin des années 70, une équipe de tournage investit une maison isolée du fin fond du Texas pour y réaliser un film X. À la tombée de la nuit, les propriétaires des lieux surprennent les cinéastes amateurs en plein acte. Le tournage vire brutalement au cauchemar.